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2 - L’agroécologie s’invite au cinéma CGR 🌱 |
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L’événement s’adresse autant aux agriculteurs et étudiants qu’au grand public (Photo : Flickr).
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La 2e édition du Sommet Agroécologie a lieu aujourd’hui au cinéma CGR Le Français de Bordeaux. L’événement sera clôturé par une soirée ouverte au public.
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Qu'est-ce que c'est ? 🐝 |
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D’après l’ONU, l’agriculture est responsable de 80 % de la déforestation et 1/3 des sols sont dégradés.
En réponse, l’agroécologie est à la fois une discipline scientifique, un ensemble de pratiques agricoles et alimentaires, ainsi qu’un mouvement social.
Son but ? Créer des systèmes alimentaires diversifiés dans lesquels les individus choisissent ce qu’ils mangent et comment les aliments sont produits, tout en protégeant la biodiversité.
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De quoi ça va parler ? 📋 |
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L’événement est organisé par l'association agroécologique de Carbouey (Gironde), en partenariat avec la municipalité bordelaise et l’association Biotope Festival.
Cette 2e édition porte sur la question de la gestion des flux, partant du constat que l’eau, le carbone et les minéraux appartiennent à des écosystèmes dynamiques, devant être gérés de façon systémique.
Cette vision répond à la nécessité de réaugmenter les réserves. Xavier Planty, le président de l’association organisatrice, souligne : « Nos sols ont perdu 80 % de leur matière organique en 60 ans ».
Tables rondes, interventions… Des professionnels de terrain et des agronomes présenteront les différentes facettes de la dynamique des flux.
L'événement sera suivi, à 19h30, par une soirée grand public sur l’agroécologie.
La participation au sommet est gratuite pour les étudiants (sur inscription) et le tarif plein est de 40 €. La soirée est à prix libre. Plus d’infos ici.
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3 - Le guide Bordeaux et ses Vins n’a pas dit son dernier mot 📕 |
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Henry Clemens tient entre ses mains 2 guides historiques datant de 1874 et 2014 (Photo : l’Essentiel Bordeaux).
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Installée à l’Hôtel Fenwick aux Chartrons, la maison d’édition Féret annonce le retour du plus ancien guide de vins de France.
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10 ans d’absence 🕰️ |
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La 1re édition de Bordeaux et ses Vins a vu le jour en 1850 et aurait « joué un rôle dans la classification officielle des vins de 1855 », confie Henry Clemens, chargé du projet éditorial.
Si la couverture dans les tons rouge et bordeaux a traversé les siècles, la 19e et dernière édition remonte à l’année 2014.
Aujourd'hui, la plus ancienne maison d’édition bordelaise, fondée par Jean-Baptiste Féret en 1812, décide donc de renouer avec la tradition.
Cet ouvrage est dû notamment à Charles Cocks, « qui eut l'idée de publier un guide de l’étranger à Bordeaux pour ses congénères anglais en 1846 ».
De sa rencontre avec Jean-Baptiste Féret naquit alors le guide français Bordeaux et ses Vins, dont la forme actuelle ressemble davantage à la version de 1868.
Perpétuer ces 174 ans d’histoire était une volonté de Julien Parrou-Dubosq, le nouveau propriétaire des éditions Féret depuis février 2024.
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Des nouveautés ✍🏼 |
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La préparation de ce 20e guide « référence » est lancée et sa parution est prévue pour le printemps 2026, avec 5 000 exemplaires tirés chez un éditeur français.
L’ouvrage de 2 000 pages comprendra une présentation complète du vignoble girondin ainsi que son histoire.
Il inclura également un répertoire des propriétés, des maisons de négoce et, pour la 1re fois, des ODG (organismes de défense et gestion).
« 10 ans après, nous conservons l’ossature tout en renouvelant certaines rubriques avec un focus sur les AOP bordelaises, l’environnement, les changements de consommation… »
Le guide sera vendu autour de 125 € et, autre nouveauté, les châteaux et domaines seront à retrouver dans la parution digitale.
« Toutes les propriétés bordelaises peuvent s’inscrire de façon gratuite ou payante pour rejoindre cette édition ». Intéressés ? C’est par ici.
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4 - Le French House revisite sa carte du soir 🍴 |
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De gauche à droite, Antoine Rouland, Kévin Devilleneuve et Tanguy Laviale (Photo : Cloé Tourdot Fuentes / French House).
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Établi au n°7 de la place Puy Paulin depuis décembre 2022, le restaurant dévoile un nouveau menu réalisé en collaboration avec le chef Tanguy Laviale.
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Dans l’hyper-centre 📍 |
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Le French House, situé proche de la rue Sainte-Catherine, accueille une clientèle très diversifiée et enregistre jusqu’à 200 couverts en soirée.
Bordelais, touristes étrangers ou français, professionnels… Ce menu du soir est un défi pour le chef « qui cuisine en moyenne pour 30 couverts ».
Il a notamment ouvert Garopapilles (1 étoile au Michelin), fermée en 2021, et Ressources (1 étoile) ainsi que la brasserie Vivants dans le quartier Saint-Pierre.
Cette collaboration est née d'une rencontre entre le chef et les cofondateurs du groupe Merci Marcel, Antoine et Marie-Charlotte, à la tête de plusieurs adresses à Singapour en plus du French House à Bordeaux.
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Le local à l’honneur 🥕 |
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Tartare de truite des Pyrénées, magret de canard, chou au chocolat… La nouvelle carte se compose de 4 entrées (11-14 €), 5 plats (23-26 €) et 4 desserts (9-10 €).
Pour la réaliser, Tanguy Laviale a travaillé main dans la main avec le chef du French House, Kévin Devilleneuve, également passé par Ferrandi.
« L’objectif était de favoriser le patrimoine culinaire local, le circuit court en créant une cuisine gourmande sans être ultra-technique », nous indique le chef étoilé.
Les amateurs de saveurs marines seront notamment servis car Tanguy Laviale est un adepte des produits de la mer.
Le dernier arrivage ? Les Saint-Jacques qui sont ici snackées et accompagnées d’une sauce champignons et poireaux étuvés au gingembre (26 € le plat).
« La collaboration n’a pas de date de fin et le menu évoluera au fil des saisons ». Pour l’essayer, vous pouvez réserver une table dès vendredi sur leur site.
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5 - La bonne idée : Carlo soutient les commerces de proximité 📍 |
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L’entreprise compte 16 collaborateurs entre Bordeaux, Monaco, Aix-en-Provence et Barcelone (Photo : Carlo App).
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Fondée en 2019 à Monaco par Antoine Bahri, l’application Carlo propose à ses utilisateurs un concept simple : acheter dans des commerces locaux pour être récompensé. Elle est arrivée à Bordeaux !
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Comment l’utiliser ? 📱 |
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Concrètement, depuis le 1er octobre, les Bordelais peuvent télécharger l’application gratuite et se rendre dans près de 40 commerces partenaires.
Parmi eux, en centre-ville : les choux de chez Elle&Lu, les donuts de chez Snicklefritz, le Dock des Épices ou encore Be my Cookie.
« Lorsqu’un achat est réalisé chez un commerçant, l’application vous récompense d’avoir contribué à l’économie locale avec 5 % de cashback dans un portefeuille sur l’application », explique Antoine Bahri.
Par la suite, ce montant peut être utilisé par les utilisateurs dans le même réseau de commerces de proximité partenaires de Carlo.
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Success story 🚀 |
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Avant de créer cette application, le fondateur était lui-même commerçant à Monaco : « J’ai dirigé une boutique de montres familiale pendant 3 ans ».
Fort du succès de Carlo, l’application monégasque s’est installée à Aix-en-Provence en 2022 où 200 commerces sont aujourd’hui partenaires.
« Bordeaux est un pari car c’est la 1re fois qu’on se lance dans une si grande ville pour laquelle nous avons eu un coup de cœur », souligne le fondateur.
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Alerte bon plan ! 🙋🏻♀️ |
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