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2 - Les métiers de l’ESS comme opportunité d’embauche 🧑💼 |
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Un atelier CV est proposé (Photo : Adobe Stock).
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La Mairie des 6/8e invite les demandeurs d’emploi à un après-midi consacré aux débouchés possibles dans le secteur de l’économie sociale et solidaire (ESS).
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Le contexte 👇 |
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L'ESS représente près de 19 % des emplois à Marseille.
Les enjeux environnementaux ou sociaux sont au cœur de la démarche des organisations qui composent l'ESS sous forme d’association, de coopérative, de mutuelle, de fondation ou de société commerciale.
Un rapport de 2022 de France Active indiquait que “l’ESS constitue tout à la fois une condition du développement de Marseille dans sa capacité à retisser des liens sociaux et un levier de son attractivité par les dynamiques collectives et les innovations qu’elle rend possible”.
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Ce qui se passe 🤝 |
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La Mairie des 6/8e et ses partenaires organisent aujourd’hui, de 13h30 à 17h30 au Centre d’animation de Sylvabelle (6e), “Passerelle pour l’emploi” dédiée aux métiers de l’ESS.
Les demandeurs d’emploi peuvent venir, gratuitement et sans inscription, échanger avec 15 entreprises et associations de ce secteur.
Des collaborateurs de Pôle Emploi vont les aider à faire des CV et écrire des lettres de motivation.
Un psychologue du travail propose un atelier pour mieux préparer un entretien d’embauche.
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Zoom 🔍 |
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Parmi les acteurs de l’ESS présents, Duo for job met en contact, depuis 2012, des jeunes chercheurs d’emploi issus de l’immigration avec des bénévoles de plus de 50 ans qui les accompagnent dans leur recherche.
Ce programme de mentorat intergénérationnel et interculturel vise à réduire les inégalités d’accès au marché du travail, valoriser les compétences et l’expérience des quinquagénaires et plus, ainsi qu’à recréer du lien social et favoriser le vivre ensemble.
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3 - Cassis se met à l’heure italienne 🇮🇹 |
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C'est la 15e édition de cette opération de promotion de l'Italie (Illustration : CCIFM).
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Un village transalpin, avec son marché et ses animations, s’installe dans la ville, pour 6 jours.
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À savoir ✂️ |
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La Chambre de commerce italienne pour la France de Marseille (CCIFM) inaugure, aujourd’hui à 9h, son village italien baptisé Portofino è Cassis.
Pour la 15e année, la place Baragnon et les salles voûtées à Cassis, hissent les couleurs du “Made in Italy” jusqu’au 11 novembre.
Une vingtaine d’artisans transalpins viennent partager leur culture, leurs traditions et leur savoir-faire. Entrée gratuite.
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Qu’y trouver ? 🍝 |
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De 9h à 19h, un marché présente en majorité des stands gastronomiques avec du fromage, de la charcuterie, des douceurs et des vins.
Des créations vestimentaires et des accessoires sont également présentés, ainsi que des arts décoratifs.
L’Institut culturel italien de Marseille propose une exposition Italianita dédiée à l’univers du designer Giulio Iacchetti avec des illustrations de Ale+Ale (Alessandro Lecis et Alessandra Panzeri), les spécialistes italiens du photomontage.
Cet après-midi, de 14h à 17h, les enfants peuvent assister à des ateliers ballons et magie aux salles voûtées.
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Les rendez-vous 🛵 |
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Portifino è Cassis c'est aussi plusieurs animations dans la semaine.
Vendredi, un quiz musical animé par un DJ, permettra de mesurer vos connaissances en chansons italiennes.
Samedi à 19h, le ténor français d’origine italienne Franck Gargiulo donne un concert avec, au programme, chant lyrique et des chansons populaires.
Dimanche à partir de 9h se déroule un défilé de Vespa et de Fiat 500 dans une ambiance Dolce Vita, suivi d’une exposition de véhicules historiques sur l’esplanade Charles de Gaulle et d’un “Pizzapéritivo” offert à midi.
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4 - Huit Marseillaises ce soir sur M6 📺 |
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Née à Marseille, l'Inverdance veut séduire le jury et les téléspectateurs (Photo : Julien Theuil/M6).
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Des artistes dansant à l'envers participent aux auditions télévisées de “La France a un incroyable talent”.
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La toile de fond 🕸️ |
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M6 a lancé, le 23 octobre dernier, la 19e saison de “La France a un incroyable talent”.
Animée par Karine Le Marchand, cette émission montre des prestations spectaculaires dans toutes les disciplines.
Éric Antoine, Hélène Ségara, Marianne James et Sugar Sammy composent le jury chargé de départager les 120 candidats.
Désigné par les téléspectateurs, le vainqueur de la finale remportera un chèque de 100 000 €.
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Pourquoi en parle-t-on ? 🤔 |
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Ce soir à 21h10 est diffusée sur M6 la 3e audition de cette saison.
Parmi les participants figurent un groupe de 8 Marseillaises âgées de 15 à 38 ans.
Elles sont les seules à pratiquer la danse inversée, ou Inverdance comme elles l’ont baptisée.
“C’est l’émission que tous les artistes et athlètes veulent faire. J’avais l’ambition d’y participer, mais je ne pensais pas le faire aussi rapidement”, indique Maé Leydet, entraîneur de natation artistique, à l’Essentiel Marseille.
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Comment ? 🤷♀️ |
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“Pendant la fermeture des piscines, durant le confinement, je voulais continuer à m’entraîner un peu comme dans l’eau, donc les pieds en haut et la tête en bas”, explique la Marseillaise.
Suivie par ses élèves dans cette nouvelle discipline sportive, elle loue une salle à Allauch.
“Nous utilisons des tabourets de yogas que nous détournons de leur usage en proposant une chorégraphie dynamique de danse de corps à l’envers qui ne s’est jamais vue”, détaille-t-elle.
Cette prestation demande une précision millimétrée et une harmonie collective.
“Ce soir, nous allons surprendre, mais, nous avons gardé des cartouches pour la suite…”, avertit-elle.
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5 - La question : D’où vient le nom de rue Sainte ? 🤔 |
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À l'origine de la rue, un sentier menant à l'abbaye Saint-Victor (photo : F.Dubessy).
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L’artère de 1,1 km qui mène à l’abbaye Saint-Victor depuis la rue Paradis, a une histoire vieille de plusieurs siècles.
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La genèse 📜 |
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À l'origine, un sentier traversait la nécropole grecque des premiers colons phocéens, puis le cimetière romain.
En 1993, une fouille préventive met à jour, entre les n°96 et 100, les traces d’un vallon où coulait une source dans l’Antiquité, celles d’une habitation ou d’un atelier d’artisan datant du IIe siècle av.J.-C. et d’un aqueduc du Ier siècle avant notre ère.
Ici, étaient également enterrés les martyrs chrétiens avec notamment la tombe de Saint-Victor de Marseille (mort vers 303).
Ce dernier a donné son nom à l’abbaye fondée au Ve siècle sur l’emplacement d’une vieille carrière à ciel ouvert de l’époque grecque.
Partant du Vieux-Port, le chemin de pèlerinage menant à l’édifice religieux était baptisé Via sacra.
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Et après ? 🧼 |
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L’artère est devenue la rue Pythéas (désignant désormais une autre rue depuis octobre 1912) sous la Révolution.
Elle fut baptisée ensuite rue Saint Giniès, de la rue Paradis à la rue Fort Notre-Dame, puis de la rue Saint-Roch jusqu'à l’abbaye, en raison d’une chapelle construite par un particulier.
Les corderies, les savonneries, les fabricants de vitraux se développent et elle prend, à partir du XVIIIe, le nom de rue des Industries.
Elle est classée dans la voirie de Marseille le 28 avril 1855 et est désignée rue Sainte.
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Les activités 🥖 |
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Avant de devenir prisée pour ses restaurants et ses galeries d’art, elle a abrité au tout début du XIXe siècle (actuels n°149/151), la manufacture impériale de tabac, avant son déménagement à la Belle de Mai en 1868.
Les imprimeries s’y développent également et le journal Marseille-Matin, qui paraît de 1931 à 1944, s’y installe.
Au 136, se trouve la plus ancienne boulangerie de Marseille créée le 24 novembre 1781.
Son propriétaire Antoine Lauzière y crée, 3 mois après son arrivée, un biscuit en forme de barque parfumé à la fleur d’oranger.
Il fait aujourd’hui encore le succès de l’établissement du 136, devenu le Four des navettes.
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