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Et aussi : 50 ans du site LU à Cestas ; Nouveau directeur à Kedge ; Du running ce soir.‌.‌.‌
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l'Essentiel | Bordeaux


⏱️ Temps de lecture : 5 minutes soit 1 786 mots

☕️ Bonjour,

 

🌤️ Météo : Regain de douceur (Max : 24° ; Min : 12°).


🚊 Tram : Jusqu’au 1er novembre, le tram A est interrompu entre les stations Quatre Chemins et Haillan Rostand. Plus d’infos sur les bus relais ici.


📺 JT de 20h : Ce soir, le bordelais Jean-Baptiste Boursier fera son 1er JT en tant que nouveau joker de Gilles Bouleau sur TF1.

 

1 - L’info du jour : Canopia, la future porte d’entrée de Bordeaux ? 🚧

l'Essentiel | Info du jour

Bientôt, il sera possible de se rendre à la gare Saint-Jean par une artère végétalisée (Photo : Apsys).

D’ici 2027, le quartier Canopia devrait voir le jour entre la gare Saint-Jean et les quais de Bordeaux. Porté par le promoteur Apsys, le projet vient d’être dévoilé.


QUE RETENIR ? 👁️

  • Présenté à la Ville de Bordeaux en 2015, les dépôts de permis de construire ont été effectués en 2019 pour un début de chantier en 2024.

  • Ce projet ambitionne de remodeler 4 ha des îlots Descas et Saget au sud de la cité girondine, pour un coût estimé à 450 M€.

  • Canopia sera, demain, un ensemble de 38 bâtiments avec une artère piétonne de 600 m de long pour 19 m de large. Son petit nom ? Le cours Saint-Jean.

  • Cette nouvelle artère offrira les mêmes proportions que le cours d’Alsace-et-Lorraine et respecta une architecture « haussmannienne », mettant en valeur la pierre bordelaise.

  • Au total, 600 arbres viendront coiffer cette « rue-parc », qui sera notamment bordée de points d’eau afin de lutter contre les îlots de chaleur.

UN PARC DESCAS 🌳

  • Cette artère débouchera, en outre, sur un futur parc de 2 ha, remplaçant un échangeur routier en face du Château Descas.

  • Le but ? « Poursuivre la revitalisation des quais et berges initiée par l’EPA Bordeaux Euratlantique, apaiser les circulations et favoriser les modes de déplacement doux ».

  • Ce nouveau parc accueillera notamment une ferme urbaine de 1 200 m2 et une maison des associations de 800 m2.

DES CHIFFRES 🔑

  • Bordeaux étant exposée aux canicules et aux inondations, 3 500 m² de toitures et 9 000 m² de façades seront végétalisées.

  • Dans le quartier, 6 600 m2 de bureaux verront le jour, tout comme 6 400 m² de logements, comprenant 2 résidences étudiantes, 2 hôtels et 140 boutiques.

  • À cela s’ajoutent, 15 000 m² dédiés aux restaurants, loisirs avec 6 nouveaux rooftops à venir et notamment l’immeuble Tauzia, entièrement construit en « blocs de verre ». Affaire à suivre !

2 - Mikado, Pépito… L’usine LU de Cestas a 50 ans 🎂

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François Comarteau, directeur de l’usine Mondelez de Cestas (Photo : PH / l’Essentiel Bordeaux).

41 600, c’est le nombre de tonnes de biscuits produits par an dans l’usine Mondelez de Cestas. Pour son 50e anniversaire, le fabricant a ouvert ses portes à l’Essentiel Bordeaux.



  • Situé en métropole bordelaise, le site de 34 000 m2 a été bâti en 1974 et inauguré par l’ancien maire, Jacques Chaban-Delmas.

  • Au départ, les biscuits de Cestas étaient produits sous la marque L’Alsacienne, comprenant des Langues de Chats, Résille d’Or, Croustade, ou Tuiles d’Amandes.

  • Aujourd’hui, l'usine girondine du géant industriel américain « est la plus grande d’Europe », souligne François Comarteau, directeur du site.

  • « Ces dernières années, 45 M€ ont été investis dans l'usine de Cestas, et chaque jour, 18 camions de nos produits sortent des entrepôts ».

  • Sa spécialité ? Les biscuits chocolatés best-sellers du goûter fabriqués sur 12 lignes de production, dont une exclusivité : la fabrication des Mikado depuis 1983.


  • Chaque minute, près de Bordeaux, le site produit 5 840 Pépito et Granola, 19 600 Mikado, ou encore 5 312 Petit Écolier.

  • Lors de notre visite, bercée par l’odeur du cacao, nous avons pu découvrir des fours de 60 m de long, des bras robotiques trieurs pour écarter les gâteaux non-conformes ;

  • Ou encore des moules vibrants pour répartir le chocolat sur les biscuits Petit Écolier. Au fil des siècles, l’usine s’est modernisée !

  • Avec un chiffre d’affaires qui s’élève à 33 Mds€, les produits Mondelez sont aujourd’hui présents dans 150 pays.

  • « Un tiers de la production de Cestas est exporté. Ainsi, si 60 % des Mikado sont consommés en France, le reste est envoyé à l’étranger ». Alors, une petite faim ?

3 - Précarité alimentaire : comment aider les étudiants ? 🥕

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À Bordeaux, 14 300 colis alimentaires ont été distribués en 2023 (Photo : Banque alimentaire Bordeaux-Gironde).

La Fondation Bordeaux Université se mobilise une nouvelle fois cette année pour l’aide alimentaire des étudiants et relance ainsi une campagne d’appel aux dons.



  • Selon le dernier baromètre de l’association Cop1 – Solidarités étudiantes, publié en octobre, 1 jeune Français sur 5 a recours à l’aide alimentaire.

  • « Depuis la crise sanitaire du Covid-19, la précarité étudiante s’est intensifiée et s’installe dans la durée », indique la Fondation Bordeaux Université.

  • En cité girondine, 500 étudiants étaient accueillis chaque semaine par les équipes de la Banque Alimentaire en 2023.

  • Cela représente une augmentation de + 123 % par rapport à l’année précédente.


  • Les bénévoles se mobilisent à travers 2 distributions : à la piscine universitaire de Talence chaque lundi dès 16h30 et au Pôle Universitaire de Gestion à Bordeaux-Bastide chaque mardi dès 17h.

  • Ces distributions sont organisées avec le soutien du CROUS de Bordeaux-Aquitaine, l’université de Bordeaux et la Fédération étudiante ATENA (FAGE)

  • Pour aider à lutter contre cette précarité, plusieurs options sont possibles : donner de son temps, donner des denrées alimentaires ou faire un don en ligne ponctuel ou mensuel.

  • L’objectif ? Permettre de reconstituer les stocks de denrées alimentaires et maintenir la gratuité de ces distributions.

UN MESSAGE D'INVIVO


L’IA au service de l’agriculture

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L’intégration de l’IA dans les opérations du groupe permet une meilleure productivité (Photo : Philippe Montigny).

 

🌾  L’agriculture bénéficie depuis de nombreuses années de l’appui de technologies avancées pour optimiser sa production et améliorer son empreinte écologique. C’est dans ce même esprit  qu’InVivo, l'un des principaux groupes agricoles européens, intègre déjà l’intelligence artificielle (IA) dans l’ensemble de ses opérations. De la gestion des matières premières à la distribution des produits, en passant par les méthodes de production, chaque étape repose sur des volumes considérables de données. L'IA offre la possibilité de transformer ces données en leviers d’optimisation pour améliorer les processus à tous les niveaux.


🚀 L’introduction de l’IA dans la distribution ne se limite pas à l’accélération de la production. Elle enrichit également les bases de données, simplifie la gestion des produits en ligne, et facilite la mise à jour des catalogues. InVivo procède par étapes, en commençant par des phases de tests locaux avant une mise en œuvre plus large. Par exemple, chez TERACT, la filiale retail d'InVivo, 10 000 fiches produits ont été générées par l'IA, ce qui garantit que les contenus respectent les normes et des critères spécifiques. Cette utilisation dans le secteur de la distribution permet non seulement de gagner du temps en conception, mais également d'enrichir les bases d'information et de faciliter la mise en ligne des produits.


🌱 Au-delà des gains de temps et d’efficacité, l’optimisation permise par l’IA répond aussi aux enjeux environnementaux. C’est le cas de « Maïté », une IA développée pour Soufflet Malt, la filière Malt d'InVivo. En analysant les données de production, Maïté ajuste les paramètres pour réduire la consommation d’énergie et d’eau tout en maximisant les rendements. Cette approche permet à InVivo de concilier performance économique et responsabilité écologique, s'inscrivant ainsi dans une vision durable de l’agriculture.


🤝 Parallèlement, le groupe accompagne ses collaborateurs dans cette transition pour qu’ils puissent identifier à la fois les nouvelles opportunités et les limites liées à l’intelligence artificielle. L’objectif est clair : faire de l’IA un véritable atout pour la productivité, aussi bien individuelle que collective.


Pour plus d’informations sur les actions d’InVivo en faveur d’une agriculture responsable, cliquez sur ce lien.

4 - Lancement d’un nouveau club de running 🏃‍♀️

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Chaque lundi soir, le club vous invite à une course à pied sur les quais (Photo : Nicolas Duffaure).

Ce soir à 19h, c’est la 1re session de running du Cool Run Club. Pour l’occasion, son fondateur, Lucas Barbereau, a répondu aux questions de l’Essentiel Bordeaux.



  • Si l’idée a déjà fleuri dans d’autres villes, dont Bordeaux, l’objectif principal de ce nouveau club est « de créer une communauté pour échanger des bons plans dans la ville, faire du réseau ou décompresser après une journée de travail ».

  • Graphiste en freelance, le fondateur de 28 ans s’est installé en cité girondine il y a 2 ans et a rejoint le Coolworking qui lui a inspiré le nom de son club.

  • « Dans un 2nd temps, l’idée est de faire découvrir ce lieu qui pourra nous proposer une salle d’après running pour des événements. »

  • Pour la 1re session de ce soir, une dizaine de personnes sont déjà inscrites. « C’est totalement gratuit, et ça a vocation à le rester ! »


  • Le rendez-vous est fixé à 18h50 place des Quinconces pour un échauffement avant de s’élancer pour 8 km de course à pied autour des 2 ponts.

  • Pour s’inscrire, rendez-vous sur ce site internet ou écrivez au club sur Whatsapp.

  • « Au fur et à mesure, j’aimerais créer d’autres rendez-vous comme le dimanche matin ou le midi en semaine, mais aussi des groupes de niveau et des événements d’après-running comme un brunch par exemple. »

  • À l’avenir, le fondateur originaire de Vendée, souhaiterait notamment proposer des circuits thématiques pour découvrir Bordeaux, ses commerces, ses restaurants et ses lieux emblématiques. « Quand je voyage, j’adore découvrir les villes par ce prisme. »

  • Si vous n’êtes pas disponible ce soir, une prochaine session est d’ores et déjà prévue lundi prochain, même heure même endroit. On s’inscrit ?

5 - Le portrait : David Biraud prend la tête de KEDGE Wine School 🍷

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David Biraud a représenté 4 fois la France au concours de Meilleur sommelier du monde (Photo : Jean Bernard).

Depuis septembre, David Biraud est le directeur de la KEDGE Wine School, qui regroupe l’ensemble des formations du secteur des vins et spiritueux de l’école de commerce bordelaise. Il s’est présenté à l’Essentiel Bordeaux.



Originaire de Vendée, David Biraud a démarré sa formation par un BEP puis un CAP de cuisine avant d’intégrer l’école hôtelière de Talence. Celui qui aspirait à devenir chef y a découvert le monde de la sommellerie : « J’ai suivi un BTS restauration en 4 ans, puis j’ai passé une mention complémentaire en sommellerie ». Il décroche ensuite un 1er poste à Paris, en tant que commis sommelier : « J’ai envoyé mon CV à tous les restaurants 2 ou 3 étoiles Michelin et j’ai eu une réponse positive », se remémore-t-il. Le Vendéen a ensuite passé 30 ans dans 2 palaces parisiens, le Crillon puis le Mandarin Oriental, où il est devenu chef sommelier.



David Biraud, qui n’avait jusqu’ici jamais dirigé d’établissement d’enseignement supérieur, note : « La formation n’est pas une nouveauté pour moi, car j’ai formé des brigades de sommeliers ». KEDGE Wine School propose 5 programmes, à Bordeaux ou à Paris, dont un Master en management du vin et des spiritueux et un autre en management du vin et de l’hôtellerie. L’école délivre des diplômes à environ 190 élèves chaque année. « Son caractère élitiste correspond au niveau d’exigence que j’ai connu dans les palaces », affirme le nouveau directeur.



Celui qui a été sacré Meilleur Sommelier de France en 2002 annonce : « J’arrive avec ma connaissance de vente de vin en contact avec la clientèle. Je suis là pour compléter le travail qui a été admirablement bien fait, en apportant mon vécu, mon expérience et mes anecdotes pour donner une vision réelle aux étudiants des métiers du vin ».

Revue de presse 🗞️


Depuis 10 mois, le CHU de Bordeaux attendait la nomination d’un nouveau directeur général. Selon Sud Ouest, le bordelais de 54 ans, Vincent-Nicolas Delpech, vient d’entamer sa mission, après 15 ans au sein de l’AP-HP (Hôpitaux de Paris).



Dans le cadre d’Octobre Rose, le chocolatier Luc Dorin a réalisé un buste en chocolat aux seins nus d'une hauteur de 50 cm pour 14 kg de chocolat. Il est accompagné d’une pastille rose : « Contre le cancer, les chocolats ne suffisent pas ». C’est à lire sur France Bleu.

Où se régaler ? 🛵

Dessert d’automne 🍂

En ce moment proche du Musée d’Aquitaine, un nouveau dessert est à tester chez Orta. Il s’agit d’une butternut poché au café, avec son caramel butternut et une glace à la crème fraîche. Miam !


🕛 12h-14h et 19h-22h.

📍3 bis, rue du Hâ, Bordeaux.

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Et des dunes roses 🚺

À l’occasion d’Octobre Rose, les Dunes Blanches proposent un coffret Ruban Rose. Il se compose de 4 dunes éphémères (litchi, rose et framboise), ainsi que de 2 dunes traditionnelles. Pour chaque coffret, 1 € sera reversé à la recherche contre le cancer du sein.


🕙 10h-19h30.

📍 7, rue de la Vieille Tour, Bordeaux.

💶 Tarif : 9 €.

Direction de la rédaction : Jean-Marc Paillous avec Emmanuelle Magne, Dany Laforge.
Rédactions en chef : Perrine Honoré à Bordeaux ; Lucile Gélébart à Paris ; Julien Chaillou à Rennes ; Frédéric Dubessy à Marseille ; Chloé Chamouton à Nantes ; Charline Poullain à Toulouse ; David Pagès à Montpellier ; Léo Mourgeon à Lyon ; Sailesh Gya à Strasbourg ; Fabien Pigalle à Nice ; Jessica Chaine à Toulon.

      A collaboré à cette édition : Pierre Zenker.

👋

À demain !

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