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2 - Nouveau hub d’innovation à Bassens 🏗 |
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Cette technopole de 7 400 m2 est la 1re de la rive droite bordelaise (Photo : Bordeaux Métropole).
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Bordeaux Technowest, référence en matière d'innovation sur le territoire, ouvre aujourd’hui son 10e site, Innogaronne, situé à Bassens. Dédié à la décarbonation, l’économie circulaire et la chimie verte, 3 start-up vont rejoindre son incubateur.
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Quelles entreprises ? 🌱 |
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KOJI, qui fabrique des maisons modulaires durables, est la 1re à rejoindre cette pépinière. La société était auparavant incubée sur le site de Blanquefort.
L’agence d’architecture Dedieu & Grytsay, spécialisée dans le développement durable, collabore avec KOJI pour concevoir leurs produits.
Enfin, SG ENERGIES est un bureau d’études et ingénierie spécialisé dans les projets de valorisation de déchets et de production d’énergie.
Prochainement, trois autres jeunes pousses devraient également rejoindre Innogaronne : AC Dismantling, ExtraJool et IDELAM.
En parallèle, un appel à projets a été lancé pour faire bénéficier des services de la technopole Innogaronne gratuitement à une entreprise pendant 6 mois, un jury se réunira fin octobre pour sélectionner les lauréats.
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Pourquoi ici ? 📍 |
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Innogaronne fait partie de l’OIM (Opération d’Intérêt Métropolitain) Arc Rive Droite, qui s’étend sur 11 communes et vise à développer économiquement la rive droite.
« C’est notre 1er site de ce côté de la Garonne. Il dispose de beaucoup d’ateliers, qui sont indispensables à certains métiers », explique le directeur général de la technopole, François Baffou.
« Il est géographiquement bien implanté, dans un bassin industriel et à seulement 1 minute à pied de la gare de Bassens ».
À terme, il devrait accueillir une vingtaine d’entreprises : « Nous voulons en faire le lieu vitrine des innovations liées à la décarbonation », conclut notre interlocuteur.
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3 - Des athlètes dans les collèges girondins 🏫 |
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Anaïs Rigal, championne de volleyball assis, fait partie des ambassadrices de cette tournée (Photo : Aurélien Marquot / Département de la Gironde).
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Dès aujourd’hui et jusqu’au 11 octobre, les athlètes paralympiques de Gironde effectuent une tournée dans 9 collèges.
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À la rencontre des jeunes 👧🏻 |
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Notre département a fait du handicap sa grande cause pour l’année 2024.
Ainsi, 19 sportifs girondins ont été parrainés pour les Jeux Paralympiques de Paris 2024 et 16 d'entre eux ont été sélectionnés pour représenter la France.
Résultat ? 8 médailles ont été remportées par les girondins sur les 75 décrochées par la France.
Cette tournée des athlètes va permettre de promouvoir « le sport ensemble, entre valides et non-valides », souligne le département.
De quoi « construire une société inclusive où chacun a sa place ».
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Médaillés ou non 🏅 |
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La tournée débute aujourd’hui à 14h30 au collège François Mitterrand à Pessac en présence de 400 collégiens et de 14 athlètes.
Elle passera notamment par le collège François Mauriac à Sainte-Eulalie, le collège Jean Cocteau à Lège-Cap-Ferret et se terminera au collège Bordeaux Belcier le vendredi 11 octobre.
Parmi les athlètes, on retrouve notamment Grégoire Bireau (médaille de bronze en para-aviron), Manon Genest (médaille de bronze en saut en longueur).
Ou encore l’équipe de France de Cécifoot, championne paralympique.
Cette tournée vise à remercier les athlètes de notre territoire « médaillés ou non » qui sont « une véritable fierté pour la Gironde ». Retrouvez-les ici.
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4 - La Pause Créative s’installe rue des Bahutiers 🗝️ |
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Un nouveau concept store ouvre ses portes dans le quartier Saint-Pierre (Photo : La Pause Créative).
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« Réunir des créateurs locaux dans un même concept store », telle est l’idée de Coralie Lescouet et Sandra Ryck qui ouvrent leur boutique au 9 rue des Bahutiers.
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Le fruit d’une réussite 💪🏼 |
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« J’avais cette idée d’ouvrir un concept store depuis longtemps », confie Coralie Lescouet à l’Essentiel Bordeaux.
Grâce à son métier de communicante et à sa rencontre avec l’illustratrice bordelaise Sandy (Ryck Illustration), elles décident d’ouvrir un magasin éphémère au 20 rue Castillon, entre le 4 et le 16 mars 2024.
« Face au succès que nous avons rencontré, nous avons décidé de nous lancer à nouveau dans l’aventure mais de manière plus pérenne ».
Ainsi, elles ouvrent leur boutique ce soir à 18h et vous attendent pour un cocktail, ouvert à tous, afin de célébrer ce moment.
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À découvrir 👨🏻🎨 |
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« Maroquinerie, cosmétique, montres… La boutique propose actuellement les produits de 20 créateurs bordelais », souligne notre interlocutrice.
Des créations fabriquées en France et conçues en petite série pour tous les budgets. On retrouve notamment les vêtements upcyclés de la marque Ojü ;
Le chocolat bien-être Delikao, les bijoux des Boucles d’Orelie, ou encore Le comptoir de Malow et ses planches de surf décoratives.
« La sélection va évoluer au fil des saisons et s’appuie d’ailleurs ce mois-ci sur la campagne Octobre Rose à travers différentes créations. »
Sur place, les clients pourront aussi déguster un café, matcha ou latte.
Et chaque jeudi, participer à des ateliers et tables rondes autour du féminin (bien-être, alimentation hormonale, tirage d’oracle…). Alors, on y va ?
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5 - Entretien avec Éric Carrière, des crampons à la vigne 🍷 |
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La rencontre se déroulera à l’Auditorium Thomas Jefferson (Photo : Nicolas Démoulin).
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Ce soir à 19h, la Cité du Vin accueille Éric Carrière pour un Grand entretien gratuit et ouvert à tous. En préambule, l’ancien footballeur a répondu aux questions de l’Essentiel Bordeaux.
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Des débuts non loin d’ici ? ⚽️ |
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Né en 1973 en Ariège, Éric Carrière « a fait ses 1ers pas dans le football vers l’âge de 7 ans dans un club à Villenave d’Ornon ». Il raconte : « Mon père était géomètre et a été muté à Bordeaux, puis dans le Gers, à Auch. J’ai donc conservé des souvenirs des huîtres du Petit Piquey, des girolles en forêt girondine… ». À 22 ans, il signe un contrat en tant que stagiaire au FC Nantes puis poursuit une carrière en Ligue 1 et en Équipe de France « qu’il n’aurait jamais imaginé ». « C’est pareil pour le vin, à la fin de ma carrière
professionnelle à Dijon, je pensais que le négoce serait seulement une partie de ma reconversion ».
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Le goût du terroir ? 🍇 |
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« J’ai été éduqué dans un milieu rural très différent de celui d’une carrière de footballeur », confie Éric Carrière, marqué par la passion du terroir transmise par ses grands-parents. Le déclic survient fin 2002 lorsqu'il rencontre le vigneron bourguignon Stéphane Ogier. « En 2006, il m’a proposé d’acheter avec lui des vignes en appellation Condrieu et une parcelle en Côtes Rôtie. Ainsi a débuté l’histoire avec un 1er millésime en 2007 ! ». Il souligne : « Je suis passionné de vin, mais surtout des personnes qui évoluent dans cet univers. C'est pourquoi,
après avoir quitté les terrains, j'ai fondé les Caves Carrière en 2010 ».
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Une antenne bordelaise ? 📍 |
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Actuellement, le négociant compte 250 000 bouteilles en stock qu'il vend à l’export ainsi qu’aux particuliers (environ 30 %) pour 14 M€ de chiffres d'affaires réalisé en 2023. « J’ai débuté dans ma cave, avant de faire construire en 2016 un espace de 600 m2 à Dijon que l’on a agrandi en 2019 avec 1 000 m2 de plus ». En 2022, les Caves Carrière se sont installées rue Calve, à Bordeaux, et recherchent actuellement des experts du vin « avec qui faire des passes, des connexions », souligne l’ancien international français en clin d’œil à
son parcours.
Y aller : Réservez votre place pour le Grand entretien à la Cité du Vin avec Éric Carrière sur ce lien. Vous pouvez aussi suivre cette rencontre en ligne.
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