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2 - L'industrie, un secteur moteur en Loire-Atlantique 🚀 |
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La métallurgie fait partie des filiÚres qui recrute le plus sur le département (Photo : Adobe Stock).
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La 13e Ă©dition de la semaine de lâindustrie dĂ©bute aujourdâhui et se poursuit jusquâau 24 novembre. Avec des rencontres et visites au sein des entreprises ligĂ©riennes, elle favorise une approche pĂ©dagogique des filiĂšres et des mĂ©tiers.
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Les enjeux 🏭 |
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IntitulĂ© "Avec l'industrie, fabrique ton avenir", ce rendez-vous national a pour objectif de valoriser ce domaine et ses acteurs.Â
Cette semaine vise Ă susciter des vocations parmi les jeunes, Ă dĂ©construire les clichĂ©s et Ă mettre en avant toute la richesse et les innovations de ce secteur d'avenir, engagĂ© dans la transition Ă©nergĂ©tique et la dĂ©carbonation.Â
Avec plus de 60 000 postes vacants en 2023 en France, les besoins en recrutement sont importants, quels que soient les niveaux de qualification.Â
Plus de 7 400 Ă©vĂ©nements dont des job dating sont organisĂ©s sur le territoire pour faire connaĂźtre les opportunitĂ©s de carriĂšres et les savoir-faire.Â
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En chiffres 📊 |
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Lâindustrie dynamise l'Ă©conomie en Loire-Atlantique, avec 1 770 Ă©tablissements qui emploient presque 70 000 salariĂ©s. 70 % des communes ligĂ©riennes comptent au moins 1 entreprise industrielle.Â
La mĂ©tallurgie Ă elle seule concentre 55 % des employĂ©s (soit 46 300 personnes) : « Câest grĂące Ă lâaĂ©ronautique et au naval, 2 filiĂšres qui se portent bien et qui sont motrices », explique NoĂ©mie Gaillou, la responsable communication de lâUIMM. Â
Durant toute la semaine, 60 visites de 31 sociĂ©tĂ©s locales sont prĂ©vues. Aujourd'hui, l'entreprise Grang Large Yatching ouvre les portes de ses ateliers de chaudronnerie Ă CouĂ«ron, oĂč sont fabriquĂ©es des coques de voilier en aluminium.
Demain, la Jules Verne Manufacturing Academy invite Ă une plongĂ©e au sein de son usine-Ă©cole au service de l'industrie du futur Ă Bouguenais.Â
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Zoom sur 👩 |
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Lâassociation Elles Bougent se mobilise en faveur de la fĂ©minisation au sein de l'industrie et propose 12
Ă©vĂ©nements jusqu'au 28 novembre. Â
Son objectif : sensibiliser 4 000 jeunes filles résidant dans les Pays de la Loire.
Selon Elles Bougent, les stĂ©rĂ©otypes de genre les empĂȘchent dâaccĂ©der Ă ces mĂ©tiers. 36 % des Ă©lĂšves de terminale en spĂ©cialitĂ© maths-physique-chimie sont des filles, et seulement 24 % des ingĂ©nieurs sont des femmes.
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3 - La parentalitĂ© en question 👨â👨â👧â👦 |
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Le Lieu utile propose des animations pour toute la famille durant 5 jours (Photo : Adobe Stock).
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La 3e édition de la semaine de la parentalité débute aujourd'hui, et se tient jusqu'au 25 novembre, dans le quartier Nantes-Nord à la Maison des Confluences.
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Le contexte 👧 |
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La municipalité accompagne les familles dans les questionnements liés à leur fonction de parent et facilite leur quotidien.
Ăcouter ses enfants, comprendre ses propres Ă©motions en tant que parents, partager des moments ensemble, tels sont les thĂšmes de ce rendez-vous, qui l'annĂ©e derniĂšre a accueilli 500 personnes.Â
Cette semaine est portĂ©e par le Lieu utile, une association citoyenne qui propose diverses actions de soutien Ă la parentalitĂ© et grand-parentalitĂ© autour de lâaccompagnement bienveillant des enfants, la communication et la gestion de crise. Â
« L'idĂ©e consiste Ă mettre en avant les initiatives dĂ©ployĂ©es par les acteurs du quartier et Ă faire connaĂźtre les ressources comme le lieu d'accueil parents-enfants LAEP, l'Accoord ou Res'PPI », explique Florence Aussant, coordinatrice des actions du Lieu utile.Â
Les activités pour la plupart gratuites « visent à susciter les échanges et faire part de ses expériences sans peur du jugement ».
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Ce qui est proposĂ© 🔍 |
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23 animations rythment cette édition. L'événement débute aujourd'hui par la projection de La Petite Solange au cinéma Bonne Garde à 20h. Le film évoque la question du divorce, en présence d'associations locales.
Demain, de 18h30 à 20h30, c'est la thématique des écrans qui est abordée au cours d'un débat. Des alternatives sont proposées comme des jeux coopératifs et des activités artistiques.
Jeudi, des ateliers ludiques invitent à s'interroger sur les sujets de l'égalité femmes-hommes ainsi que sur les émotions. Retrouvez la programmation.
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Ă savoir 🔢 |
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37 000 familles environ vivent Ă Nantes.Â
La ville compte 9 lieux d'accueil enfants-parents dont 3 municipaux, 5 associatifs et 1 gĂ©rĂ© par le DĂ©partement.Â
La cité des Ducs décline 65 multi-accueils. Des assistantes maternelles sont présentes dans tous les quartiers.
100 associations proposent des services dans le domaine de la vie de famille.Â
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4 - Gagnez vos places de cinĂ©ma 🎬
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10 films figurent au programme du jeu concours (Photo : Adobe Stock).
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Ă partir dâaujourdâhui et jusquâĂ vendredi, lâUGC dâAtlantis Ă Saint-Herblain, en collaboration avec BNP Paribas, offre 1 000 billets pour voir ou revoir des films cultes.
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De quoi s'agit-il ? 🎟ïž |
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Pour la 3e annĂ©e consĂ©cutive, BNP Paribas lance lâopĂ©ration We Love CinĂ©ma dans 10 villes de France.
Câest l'occasion de regarder sur grand Ă©cran des Ćuvres qui ont marquĂ© une gĂ©nĂ©ration et qui ont quittĂ© les salles obscures depuis bien longtemps.Â
En partenariat avec lâĂ©vĂ©nement #CinĂ©culte, lâUGC dâAtlantis remet Ă lâaffiche une dizaine de films pour les grands et les petits (Gatsby le Magnifique, Harry Potter Ă lâĂ©cole des sorciers, Aladdin, Shutter Island, Le Nom de la RoseâŠ). DĂ©couvrez la programmation.
5 jours de projections sont programmés, avec vendredi, une avant-premiÚre exclusive de Leurs enfants aprÚs eux, film adapté du roman prix Goncourt 2018.
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Ce qui compte 🎁 |
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Pour tenter votre chance et remporter votre invitation pour 2 personnes, il suffit de sélectionner la séance qui vous intéresse et de créer un compte. Un tirage au sort est effectué chaque jour.
La filmographie de cette Ă©dition est basĂ©e sur un critĂšre unique : chacun des films est adaptĂ© dâune Ćuvre littĂ©raire incontournable.
« LâidĂ©e, câĂ©tait de rappeler des souvenirs Ă ceux qui avaient dĂ©jĂ vu ces films au cinĂ©ma, mais aussi permettre aux plus jeunes de dĂ©couvrir ces Ćuvres dont ils auraient entendu parler sur grand Ă©cran. Nous restons persuadĂ©s que la salle de cinĂ©ma est un formidable endroit pour vivre de belles Ă©motions ! », explique Estelle Couty, responsable des partenariats cinĂ©ma BNP Paribas.
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L'info en plus 💡 |
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BNP Paribas accompagne le 7e art depuis plus de 100 ans. Apparu Ă la fin du XIXe siĂšcle, le cinĂ©ma est, dĂšs lâorigine, une industrie qui nĂ©cessite des investissements consĂ©quents.Â
Peu de banques de dĂ©pĂŽts opĂšrent dans ce secteur naissant. La Banque Nationale de CrĂ©dit, ancĂȘtre de la BNP, fait figure de pionniĂšre en apportant un soutien financier.
Aujourd'hui, la banque poursuit ses missions en faveur du cinéma à travers des partenariats avec des festivals et la valorisation de projets cinématographiques.
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5 - Le portrait : Jean-Marc ChĂ©nĂ©, un homme de radio 📻 |
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Le Couëronnais recherche un local adapté pour valoriser ses piÚces de collection (Photo : Jean-Marc Chéné).
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Ă 73 ans, cet Ă©lectromĂ©canicien de formation collectionne plus de 500 radios dans son garage, dans lâattente dâexposer ce patrimoine historique dans un lieu dĂ©diĂ©.Â
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La bonne frĂ©quence 🔊 |
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PassionnĂ© de radiodiffusions, mais aussi de Jules Verne ou de Boris Vian, Jean-Marc ChĂ©nĂ© sâintĂ©resse Ă tout.Â
Grand bavard et fin connaisseur, le CouĂ«ronnais collectionne les radios depuis plus de 30 ans. « Câest un vecteur dâhistoire », justifie-t-il.Â
Cet amoureux des grandes ondes possĂšde aujourdâhui 250 postes avec lampe et plus de 300 transistors. Ses 1res piĂšces, il les trouve dans le grenier dâun agriculteur en 1990 alors quâil Ă©tait venu chercher un lit pour sa belle-mĂšre.Â
« Il mâa dit : "prends-les, car sinon je vais mâen dĂ©barrasser". Il y en avait une dizaine et elles dataient de 1950 », raconte le sexagĂ©naire. « Je les ai nettoyĂ©es et elles fonctionnaient. »
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La passion de l'histoire âł |
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FascinĂ©, Jean-Marc enchaĂźne les brocantes pour dĂ©goter ces rĂ©cepteurs dâhistoires. Il se renseigne en lisant des livres. « Jâai autant de bouquins que de radios », sâamuse-t-il. Sa bible : Le gĂ©nĂ©ral FerriĂ© et la naissance des transmissions et de la radiodiffusion. « Je le connais par cĆur », poursuit-il.Â
Le collectionneur expose dans des salons dĂ©diĂ©s, dans des collĂšges, des municipalitĂ©s. La radio devient une obsession.Â
En 1996, avec sa femme, ils dĂ©cident de quitter Saint-Ătienne de Montluc. « Jâai failli avoir ma valise sur le trottoir. Mon Ă©pouse nâen pouvait plus. Il y avait des radios partout, mĂȘme dans la salle de bain », se remĂ©more-t-il en riant.Â
Alors, il trouve une grande maison Ă CouĂ«ron, avec une vĂ©randa pour elle, et un garage en guise de musĂ©e pour lui.Â
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En quĂȘte d'un local 📣 |
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Aujourdâhui, lâhomme de 73 ans croule sous les faits historiques. Son envie ? Transmettre. « Vous savez pourquoi la Tour Eiffel nâa jamais Ă©tĂ© dĂ©truite alors quâun promoteur immobilier voulait le faire ? Le gĂ©nĂ©ral FerriĂ© a empĂȘchĂ© sa destruction en plaçant un Ă©metteur national dessus. Câest la naissance de la radio publique. »
Dans son garage, il possĂšde des piĂšces datant de 1922 jusquâaux annĂ©es 2000, et elles fonctionnent encore. « Je cherche un grand local pour en faire un musĂ©e. Je suis prĂȘt Ă faire don de ma collection si mon exposition devient permanente dans un lieu, et que jâen suis lâhistorien », annonce-t-il.Â
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