☕️ Bonjour,

Sophia prépare ses pâtes maison dans le quartier Saint-Cyprien à Toulouse (Crédit : Elodie Pages).

Et si on craquait pour la cuisine italienne ? Dans son loft toulousain, Sophia propose des ateliers pour réaliser des pâtes fraîches maison. Il y en a un ce soir. Elle vient aussi d’ouvrir un comptoir gourmand. Découverte.

On rembobine 🎞️

• Sophia est tombée amoureuse de l’Italie depuis petite. Une enfance à Briançon avec une voisine qui prépare des pâtes pour le goûter, puis au travers d’échanges scolaires, de livres, de recherches et enfin d’apprentissages culinaires au cœur de familles italiennes.

• « Je voulais savoir comment les Italiens avaient réussi à ériger les pâtes au rang d’art et faire vivre à travers les siècles ce patrimoine culinaire riche », explique-t-elle.

• Après une carrière dans la formation et l'accompagnement de collectivités, elle fait le grand plongeon et ouvre le Toulouse Pasta Club.

Les bases 🥣

• Envie d’apprendre à confectionner des pâtes fraîches à la maison, des raviolis ou des gnocchis ? Réservez un créneau sur le site du Toulouse Pasta Club (à partir de 50€). Ce soir, c’est "pâtes fraîches au mattarello", c’est-à-dire au rouleau !

• Sophia attend les apprentis cuisiniers dans son loft de caractère, au bord du Canal du Midi. Un espace atypique mais convivial dans lequel on a rapidement envie de mettre la main à la pâte !

• On peut aussi privatiser le lieu pour des soirées “pasta” sur mesure et en groupe.

Le comptoir 🍝

• Depuis quelques jours, Sophia a également ouvert un petit comptoir pour régaler les Toulousains du mardi au samedi midi.

• Cinq personnes par service peuvent déguster sa salade de puntarelle comme à Rome, ses pâtes aux sauces généreuses et son tiramisu. Un menu non contractuel puisqu’il change tous les jours.

• « Je suis une femme de comptoir. C’est un lieu où l’on peut venir seul. J’aime que les gens se parlent, discutent, échangent », dit-elle. Et se régalent autour d’un très bon plat de pâtes.

Philippe Gandon succède à Laure Mulin à la tête de la Compagnie régionale des commissaires aux comptes. Il a commencé sa carrière à Toulouse chez KPMG en tant qu’auditeur, avant de rejoindre le cabinet Serco Partners (Crédit : LBarranco).

Philippe Gandon prend ses fonctions à la présidence de la Compagnie régionale des commissaires aux comptes de Toulouse. Il en a été le vice-président, ainsi que membre de la commission nationale des études juridiques.

Qu’est-ce que la Compagnie régionale des commissaires aux comptes ? 🙇

• « C’est l’instance représentative des commissaires aux comptes. La CRCC de Toulouse couvre les départements du ressort de la Cour d’Appel de Toulouse : l’Ariège, la Haute-Garonne, le Tarn et le Tarn-et- Garonne. »

• « Elle a pour objet de représenter la profession des commissaires aux comptes, de défendre les intérêts de la profession. »

Que fait un commissaire aux comptes ❓

• « C’est un professionnel indépendant qui intervient dans le cadre d'une mission légale. Sa mission est de vérifier la sincérité et la régularité des états financiers : on certifie les comptes de l'entreprise, en l'occurrence le bilan, le compte de résultat et l'annexe. Ça veut dire que l'on garantit la fiabilité des informations financières et comptables des entreprises. »

• « En cas de fait délictueux dans l’entité contrôlée, nous avons l'obligation d'alerter le procureur de la République. »

• « La troisième mission est un rôle de prévention : nous devons alerter le président du tribunal de commerce si l’on sent poindre des difficultés économiques dans l'entreprise. »

Quels sont les enjeux de votre mandature ? 🗣️

• « C'est de rendre la communication audible. Car nous avons été désavoués par Bercy : la loi PACTE nous a exonéré d'un certain nombre de mandats (NDLR. La nomination d'un commissaire aux comptes n’est plus obligatoire qu’à partir de seuils, comme 10 000 000 € HT de chiffre d'affaires et 5 millions € en bilan) »

• « C'est aussi de former les confrères aux enjeux de demain comme la RSE et à l'intelligence artificielle qui vont avoir un impact non seulement sur les métiers du chiffre, mais également sur les modalités de nos interventions.»

Thierry Corbarieu avec son fils Yan sur le bateau avec lequel ils vont traverser l’Atlantique (Crédit : Corberieu).

Thierry Corbarieu est un ultra-traileur de 55 ans, qui a multiplié les défis dans sa vie de sportif. Vendredi, ce Toulousain habitué aux raids solitaires va entamer un tour du monde avec son plus jeune fils.

Présentation 👇

Une vie de défis. Thierry Corbarieu est un ultra-traileur de l’extrême. C’est-à-dire un coureur qui parcourt des distances de plusieurs centaines de kilomètres dans des conditions extrêmes.

Originaire de Lagrâce-Dieu, à côté d’Auterive, il raconte ses derniers exploits. « Cette année, j’ai gagné une course de 500 kilomètres en tirant une luge en Laponie. J’ai aussi traversé l’Alaska (1650 kilomètres, ndlr) en 2023, ou encore établi le temps de référence sur la traversée des Pyrénées sur le GR10 qui faisait 880 kilomètres, en 12 jours ». Voilà qui plante le décor.

55 ans : l'âge de la transmission 🤝

Ce Toulousain, père de trois enfants, effectue en ce moment les derniers préparatifs d’un défi bien différent. Il prépare depuis deux ans et demi un tour du monde avec son plus jeune fils, Yan, âgé de 20 ans.

Ce joueur de rugby, qui a eu son BTS immobilier, n’a « aucune expérience des courses longue distance », souligne son père, qui va donc pour la première fois partager une de ses aventures. 

« À 55 ans, je me suis aussi dit que c’était le moment de transmettre. Quoi de mieux que de partager ce défi avec son plus jeune fils, qui en a émis l’envie », explique Thierry Corbarieu, qui a prévu un tour du monde pas comme les autres.

Un voyage de 8 mois et demi 🚣🚴

Le parcours comprend 20 000 km à vélo pour traverser les Etats-Unis, l’Asie et l’Europe mais aussi 5 000 km à la rame pour traverser l’Atlantique. « On est parti sur un parcours qui va faire le tour du globe et pour un voyage qui devrait durer 8 mois et demi. »

Un joli et long projet qu’il ne va pas seulement partager avec son fils puisqu’environ « 600 élèves des écoles autour d’Auterive » suivront leurs exploits.

Parrain de l’association KO la Muco, qui œuvre pour aider les personnes atteintes de mucoviscidose à réaliser leur rêve, ce chef d’entreprise court également pour récolter des dons pour cette association qui lui « tient à cœur ».