☕️ Bonjour,

Même en petite quantité, toutes les olives sont les bienvenues (Photo : Adobe Stock).

Les particuliers peuvent, à partir de cet après-midi, confier leur propre récolte dans un moulin.

Pour bien comprendre ? 👇

• Le moulin à huile de Florette, le seul de la cité phocéenne, rouvre ses portes aujourd’hui pour une nouvelle saison.

• Situé à Château-Gombert (7 boulevard Julien Pignol - 12^e), il a été repris en 2015 par Thierry David sous la forme d’une association pour “sauvegarder et perpétuer la tradition de la culture de l’olivier dans le terroir marseillais”.

Pourquoi en parle-t-on ? 🤔

• À partir de cet après-midi, de 14h à 19h, et jusqu’à samedi, les particuliers peuvent y amener leur propre récolte d’olives provenant de leur jardin ou de leur oliveraie. 

• Elles seront pressées sur place et leurs propriétaires bénéficieront de bouteilles au quota de leur apport.

• Il faut entre 7 et 10 kg d’olives pour faire 1 litre d’huile d’olives.

• Les Marseillais peuvent aussi, sur ce créneau, découvrir la fabrication de l’huile d’olives, de la cueillette à la mise en bouteille en passant par la trituration.

Zoom 🔍

• Pour la 2^e année consécutive, la mairie d’Allauch s’associe à la démarche.

• Elle organise une collecte devant le service du Guichet famille, avenue Jean Moulin (Logis-Neuf) de 9h à 18h les dimanches 20 et 27 octobre ainsi que 3 novembre.

• “Nous nous adressons aux personnes qui n'effectuent pas nécessairement cette collecte dans leur jardin pour les inciter à le faire même pour de petites quantités”, indique Carine Le Chenic, chargée de mission Éducation et Environnement à la mairie d’Allauch.

• Ils se verront remettre un ticket mentionnant la pesée des olives qui leur permettra de récupérer l’huile correspondant.

• “5 tonnes ont été apportées l’an dernier en 3 jours et demi “, précise Carine Le Chenic.

Le ruban rose symbolise la campagne (Photo : Adobe Stock).

Pendant un mois, plusieurs actions vont permettre de sensibiliser au cancer du sein.

Le contexte 🎀

• Initiée en France voici 30 ans par le magazine Marie Claire et le groupe Estée Lauder, la campagne annuelle Octobre Rose sensibilise à l’importance du dépistage du cancer du sein pour diminuer le nombre de décès.

• En 2023, 61 214 nouveaux cas ont été recensés sur le sol français portant à 900 000 les personnes atteintes. 

• En 2022 et 2023, seule la moitié des femmes concernées (46,5 %) ont fait un dépistage. Où le faire ?.

• Détectée tôt, cette maladie peut être guérie dans 9 cas sur 10. 

• Les hommes sont également touchés et représentent 1 % (600 cas) de l’ensemble des cancers du sein.

Ce qui se passe 🏃‍♀️

• Aujourd’hui débute le Défi Octobre rose connecté organisé depuis Marseille par le Centre régional de coordination du dépistage des cancers Sud-Paca (CRCDC). Il s’agit de parcourir un maximum de kilomètres (marche, course, vélo, natation…) pour soutenir le dépistage du cancer du sein et promouvoir l’exercice physique jusqu’au 31 octobre. S’inscrire.

• Cette opération nationale gratuite avec possibilité de dons au CRCDC propose plusieurs challenges : le sportif et l’équipe qui feront le plus de kilomètres et la plus grande équipe en nombre d’inscrits. 

• L’objectif est de dépasser les 478 017, 28 km parcourus en 2023.

Mais aussi ♋

• Dimanche, se déroule la course “Marseille en Rose” au parc de la Mairie de Maison Blanche.

• Vous pourrez parcourir de 2 à 10 boucles de 1 km, soit en courant, soit en marchant, pour un tarif de 16 € minimum (gratuit pour les enfants de 6 à 12 ans). S’inscrire.

• La totalité des recettes sera reversée à l’Institut Paoli-Calmettes pour la recherche médicale contre le cancer du sein.

• Le “Bus Rose” de la Région Sud sera inauguré le 9 octobre au boulevard des Dames, à côté de l’Hôtel de Région avant de partir dans d’autres villes.

• De 8h30 à 16h30, il sensibilisera les femmes au dépistage du cancer du sein.

Le van de Google va sillonner la région (Photo : Google)

La Chambre des Métiers et de l’Artisanat veut aider ses adhérents dans leur transformation numérique.

À propos 👨‍💻

• Cet après-midi à 14h, Yannick Mazette, président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat (CMA) Provence-Alpes-Côte d’Azur, et Hélène Marlaud, directrice Google Ateliers Numériques, paraphent une convention de partenariat.

• La CMA sollicite l’expertise de la filiale du groupe américain Alphabet pour soutenir la transformation numérique des entreprises artisanales de la région.

En quoi ça consiste ? 🚐

• Cet accord va permettre aux artisans de bénéficier “d’un accès privilégié à divers dispositifs d’accompagnement pour réussir leur virage digital”, précise la CMA. 

• Ainsi, aujourd’hui de 9h à 16h, le van Google est présent au siège de la CMA, 5, boulevard Pèbre (8^e), avant de partir pour un tour de la région avec 5 autres dates.

• Des coachs Google Ateliers Numériques sont disponibles pour des rendez-vous individuels, des conseils personnalisés aux artisans et des ateliers collectifs.

• Des conférences thématiques sont aussi programmées avec accès libre à 9h15 (“L’intelligence artificielle au service des TPE/PME”), 10h (“Développez votre activité grâce à la publicité en ligne”) et 14h30 (“SEO : Comment référencer un site internet ?”). S’inscrire.

• Google Ateliers Numériques organisera aussi, chaque mois, le jeudi matin, du 17 octobre au 10 juillet, des webinaires de 90 minutes sur une thématique. 

L'entreprise compte 400 revendeurs dans toute la France (Photo : Timon & Sourrieu).

Deux amis d’enfance ont créé leur marque “Timon & Sourrieu” en 2020 et ouvrent leur boutique.

L’histoire 👨‍🍳

• Guillaume Sourrieu, chef étoilé du restaurant “l’Épuisette” au Vallon des Auffes, est passionné de cuisine depuis toujours. 

• Jean-Marc Timon-David est directeur financier d’un magasin spécialisé dans la télévision par satellite, mais veut tout quitter pour créer un projet mettant à l’honneur les saveurs provençales.

• Les deux Marseillais, amis de longue date, décident donc de se lancer ensemble et créent “Timon & Sourrieu”. 

• “Jean-Marc avait les idées, Guillaume la technique”, résume Sonia Hoba, chargée de communication de l’entreprise.

• En 2020, ils proposent leur 1^re gamme avec comme produits phares des tartinades aux noms évocateurs : “Rouste de poivrons”, “Mistral d’oignons”, “Oaï d’olives”...

Le développement 📈

• Les commandes se multiplient et Nicolas Timon-David, cousin de Jean-Marc, se joint à l’équipe en 2021 pour gérer la partie commerciale. 

• La gamme s’élargit et il faut désormais compter avec les tartinables “Figure de poulpe” et “Baléti de la mer””, les biscuits ”Empégués à la menthe” et “fatigués d’olives vertes” ou les fruits secs “Boucan de graines” et “Mélange à l’arrache”. 

• Quatre ans après, ils comptent 400 revendeurs dans toute la France.

• Ils ne choisissent que des fournisseurs de la région Sud puisqu'ils se rendent sur place pour créer les recettes.

Quoi de neuf ? 🍜

• Depuis un mois, ils ont ouvert leur 1^re boutique “Timon & Sourrieu” au 218 rue d’Endoume qui vient d’être inaugurée vendredi.

• Une nouvelle gamme sera bientôt proposée, notamment des sauces ou encore des soupes pour l’hiver.