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2 - On refait la Fiesta ! 🎉 |
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En 2023, 25 000 spectateurs ont participé à cet événement (Photo : Fiesta des Suds 2023/Jean de Pena).
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La 33e édition de la Fiesta des Suds, festival marseillais de la musique, débute ce soir.
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À savoir 🎶 |
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La Fiesta des Suds revient à partir d’aujourd’hui à 19h et jusqu’à dimanche sur l’esplanade du J4.
Une quarantaine d’artistes, en solo ou en groupe, vont se produire sur 2 scènes durant 3 soirées.
Pour cette 33e édition, la soul-folk, l’afro-beat, le reggae et les sons du Maghreb et du Brésil sont à l’honneur.
Des pass 1, 2 et 3 jours sont disponibles à partir de 21 €. Réserver.
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Qu’y voir ? 👀 |
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Dès ce soir, des têtes d’affiche inaugurent ce festival marseillais de la musique : MC Solaar, Ayo, mais aussi le collectif d’ethno-trip hop Orange Blossom.
Demain, Olivia Ruiz, Flavia Coelho et Zoufris Maracas leur succéderont.
Samedi, à la fin des concerts, le Fiesta Club poursuivra la fête alternant concerts et DJ set de minuit à 5h au Dock des Suds.
La scène marseillaise est représentée par 9 groupes aux styles éclectiques dont Makoto San, Jon Onj, King Krab ou la Banda du dock. Voir tout le programme.
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Et aussi ? 🎺 |
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Le 13 octobre, ce sera la Fiesta du Dimanche, une journée gratuite sur réservation (12h/19h) avec une programmation familiale : fanfare, concerts, espaces ludiques et ateliers en tout genre.
Une table ronde se tiendra également à 17h le 11 octobre, à l’auditorium du Mucem sur le thème de : “Femmes des Suds et engagement à cœur”.
Olivia Ruiz, Ana Tijoux et Flavia Coelho partageront leur vision du monde d’aujourd’hui.
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3 - La Ville donne la parole aux étudiants 🗣️ |
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Les étudiants sont invités à s'exprimer (Photo : Adobe Stock).
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Les candidatures sont ouvertes pour rejoindre une instance dédiée à la vie universitaire.
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À propos 🧑💻 |
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La mairie de Marseille a décidé en 2023 de créer un Conseil marseillais de la vie étudiante (CMVE).
Il a pour objectif de renforcer les liens entre les étudiants, les institutions et les élus, tout en leur permettant de faire l’expérience de la démocratie locale, d’acquérir de nouvelles compétences et de partager des moments de convivialité.
Un appel à candidatures est lancé par la ville jusqu’au 25 novembre à tous ceux qui voudraient participer à cette 2e édition. Candidater.
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Qui ? 🙋 |
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Sont concernés les étudiants de 18 à 30 ans, inscrits dans un établissement d’enseignement supérieur marseillais.
Mais aussi les associations impliquées dans "les champs de la vie étudiante marseillaise" et dont le siège se situe à Marseille.
Le Conseil est en effet réparti en 2 collèges : associatif, représentant 40 % des membres, et étudiants volontaires (60 %).
Sa présidence est assurée par Aurélie Biancarelli, adjointe au maire en charge de la Vie étudiante et 2 vice-présidents représentant les étudiants.
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Comment ça marche ? 💬 |
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Le CMVE a vocation à permettre aux étudiants d’échanger des idées et de débattre en se réunissant plusieurs fois par an.
Les membres pourront aussi rencontrer des élus, des techniciens, des partenaires “afin de développer un projet ou des propositions d’actions en lien avec les milieux ou sujets étudiants”, précise la Ville.
Ils pourront s’autosaisir sur des sujets et porter des réflexions prospectives.
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4 - Une enquête journalistique en direct sur scène 🎤 |
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Mediavivant lance sa 3e saison ce soir (Photo : A.Micallef).
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Les Marseillais sont invités à assister à la construction d’un article de A à Z.
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Pour bien comprendre 👇 |
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Mediavivant a été créé en 2021 sous la forme d'une association par le journaliste Jean-Baptiste Mouttet et la consultante en stratégie numérique et éditoriale Alix de Crécy.
Ils ont pour objectif de “casser les barrières économiques, culturelles et sociales qui séparent le public de la presse” en organisant depuis novembre 2022 des enquêtes inédites sur scène.
“Le journaliste raconte son article en direct face au public en s’appuyant sur des vidéos, du son et des interviews”, précise Jean-Baptiste Mouttet, à l’Essentiel Marseille.
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Ce qui se passe 🛩️ |
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Mediavivant lance sa 3e saison ce soir sur le thème de : “Face au privilège des jets”, dans le cadre du projet Dirty Sky mené par le collectif de journalistes indépendants We Report et avec le soutien de Journalismefund Europe.
“Nous avons enquêté sur les vols privés dans le sud-est de la France et leurs nuisances”, explique Jean-Baptiste Mouttet.
En collaboration avec l’association Mémoire Vive, qui suit les activités des jets privés, l’empreinte carbone des trajets a été calculée.
Les journalistes Daphné Gastaldi (Mediavivant) et Mathieu Martinière (indépendant), qui animent ce soir, promettent des révélations.
Dans une 2e partie, un échange entre les intervenants et le public permettra d’approfondir le sujet.
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Où ? 📍 |
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La séance se déroule à 19h30 dans le tiers-lieu la Fabulerie au 10, bd Garibaldi (1er).
L’inscription est gratuite et l’entrée à tarif libre (prix conseillé 10 €). Réserver.
L’enquête peut également être suivie en direct sur le site de Mediavivant ou sur sa chaîne Youtube.
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5 - La bonne idée : Une clinique du cheveu à Marseille ! 🏥 |
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Une clinique au look rétro-futuriste (Photo : Néoclinique).
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Néoclinique, un centre dédié à la restauration capillaire, propose des traitements innovants.
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Les bases 🧑🦲 |
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Implanté depuis août dernier au 24, rue Fortia (1er) sur 500 m2, Néoclinique s’adresse à toute personne souhaitant résoudre son problème de chute de cheveux (excepté ceux atteints d’une maladie).
Elles peuvent accéder à des traitements, voire à une opération esthétique.
L’idée est partie d’un constat : “l’offre médicale en France est limitée, de nombreuses personnes se tournent vers l’étranger notamment la Turquie”, indique Clémence Dayez, ancienne consultante en management et stratégie.
Avec Giulia Ferreux, spécialisée dans la biotechnologie et la gestion pharmaceutique, elle est à l’origine de Néoclinique.
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Quoi ? 🥼 |
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Accompagnée d’une équipe d’une quinzaine de personnes dont 2 chirurgiens, Néoclinique propose des opérations de greffes de cheveux ainsi que d’autres solutions moins intrusives.
Parmi elles, le PRF (Plasma riche en fibrine), qui utilise le plasma sanguin du patient pour stimuler la croissance capillaire, la lumière LED, ou encore la mésothérapie de cocktails vitaminés.
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En détail 📋 |
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Un diagnostic précis est proposé pour identifier les causes de la chute de cheveux : bilan sanguin, test ADN… avant de prendre une décision.
“Dans de nombreux cas, les procédures de greffe sont réalisées de manière artisanale dans des cabinets privés, à des coûts élevés, décourageant ainsi une partie des patients. Nous souhaitons les rendre accessibles” indiquent les 2 gérantes.
Les tarifs vont de 2 500 à 4 000 € pour une greffe. Prendre rendez-vous.
Le centre a été pensé pour rassurer la patientèle avec une ambiance cosy aux allures rétro-futuriste.
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