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2 - Vaccinez-vous ! 💉 |
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La couverture vaccinale reste faible dans notre région (Photo : Adobe Stock).
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Les professionnels de santé font le point sur les virus hivernaux et engagent à s’en protéger dès maintenant.
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Le contexte 🤒 |
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L’Agence régionale de santé (ARS) a démarré les campagnes de vaccination contre la grippe et la bronchiolite.
Il s’agit de prémunir la population pour limiter la propagation de ces virus avant leur période active de circulation en hiver.
Un délai de 2 semaines est nécessaire pour que l’organisme développe les anticorps.
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Les messages 📣 |
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Alors qu’il faudrait que 75 % de la population soit vaccinée contre la grippe pour éviter une épidémie, la couverture vaccinale n’a été que de 43 % dans notre région l’an dernier.
“On meurt encore de la grippe en France. Se vacciner est une responsabilité individuelle et collective. C’est une action efficace et sûre !”, souligne Olivier Brahic, directeur général adjoint de l’ARS.
“Nous préconisons de le faire en même temps que la Covid”, indique Olivier Reilhes, directeur santé publique à l’ARS.
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Quoi de neuf ? 👶 |
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Pour la bronchiolite, maladie respiratoire des tout-petits, qui se manifeste plus fréquemment en hiver, un nouveau traitement préventif (Beyfortus) a été proposé aux parents en sortie de maternité l’an dernier.
Dans notre région, plus de 9 800 nourrissons (72 % des nouveau-nés sur cette période) l’ont reçu.
“Cette thérapeutique bien acceptée par les parents a permis de réduire de près de 80 % le risque de développer une forme grave nécessitant une hospitalisation en réanimation”, précise le Dr Aurélie Morand, cheffe des urgences pédiatriques à l’AP-HM.
Jusqu’alors uniquement disponible en milieu hospitalier, ce traitement préventif l’est aussi cet automne dans les pharmacies.
En complément, une vaccination maternelle (Abrysvo) est désormais proposée pendant la grossesse.
“La femme enceinte peut ainsi fabriquer des anticorps qu’elle transmet à son enfant”, indique le Dr Aurélie Morand.
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3 - Cyberpark relance ses ateliers cybersécurité 🔐 |
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Les ados ont besoin de mieux connaître les risques informatiques (Photo : Adobe Stock).
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La Plateforme apprend de façon ludique aux adolescents à mieux appréhender les risques numériques.
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Pour bien comprendre 👇 |
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Lancé le 15 juillet dernier, Cyberpark est un programme gratuit destiné à initier les jeunes à la cybersécurité.
Développé par La Plateforme, campus marseillais des métiers du numérique et des nouvelles technologies, il accueille les 14 à 18 ans durant les temps périscolaires.
Il s’appuie sur des ateliers interactifs, ludiques et éducatifs, réalisés en partenariat avec le fonds de dotation Advens for People and Planet et l’entreprise marseillaise Mailinblack.
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Ce qui se passe 👨💻 |
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Pendant les vacances scolaires, La Plateforme propose ces ateliers sur 2 jours pour “jouer et expérimenter autour de la cybersécurité”.
Ils se déroulent aujourd’hui et demain de 9h à 17h.
Les réservations sont aussi ouvertes pour les ateliers des 28 et 29 octobre, ainsi que les autres prévus en février. S’inscrire.
L’objectif est de sensibiliser le jeune public aux risques liés aux usages numériques, mais aussi, lui apprendre à se protéger et à prémunir les autres des risques cyber.
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Le programme 📃 |
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La 1re journée fait le point sur les bonnes pratiques à adopter sur Internet, les interventions sur les réseaux sociaux et la gestion des données personnelles.
La 2nde est axée sur la découverte et l’orientation vers les métiers de la cybersécurité, Cyberpark ayant pour vocation de susciter des vocations.
Les séances font appel au jeu (de plateau et escape game), à la coopération en équipe, ainsi qu’aux échanges entre ados et avec les experts. Voir le programme complet.
Les ateliers se déroulent dans les locaux de La Plateforme au 35, boulevard de Paris (2e).
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UN MESSAGE D'INVIVO
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L’IA au service de l’agriculture |
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L’intégration de l’IA dans les opérations du groupe permet une meilleure productivité (Photo : Philippe Montigny).
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🌾 L’agriculture bénéficie depuis de nombreuses années de l’appui de technologies avancées pour optimiser sa production et améliorer son empreinte écologique. C’est dans ce même esprit qu’InVivo, l'un des principaux groupes agricoles européens, intègre déjà l’intelligence artificielle (IA) dans l’ensemble de ses opérations. De la gestion des matières premières à la distribution des produits, en passant par les méthodes de production, chaque étape repose sur des volumes considérables de données. L'IA offre la possibilité de transformer ces données en leviers
d’optimisation pour améliorer les processus à tous les niveaux.
🚀 L’introduction de l’IA dans la distribution ne se limite pas à l’accélération de la production. Elle enrichit également les bases de données, simplifie la gestion des produits en ligne, et facilite la mise à jour des catalogues. InVivo procède par étapes, en commençant par des phases de tests locaux avant une mise en œuvre plus large. Par exemple, chez TERACT, la filiale retail d'InVivo, 10 000 fiches produits ont été générées par l'IA, ce qui garantit que les contenus respectent les normes et des critères spécifiques. Cette utilisation dans le secteur de la distribution permet non seulement de gagner du temps en conception, mais également d'enrichir les bases d'information et de faciliter la mise en ligne des produits.
🌱 Au-delà des gains de temps et d’efficacité, l’optimisation permise par l’IA répond aussi aux enjeux environnementaux. C’est le cas de « Maïté », une IA développée pour Soufflet Malt, la filière Malt d'InVivo. En analysant les données de production, Maïté ajuste les paramètres pour réduire la consommation d’énergie et d’eau tout en maximisant les rendements. Cette approche permet à InVivo de concilier performance économique et responsabilité écologique, s'inscrivant ainsi dans une vision durable de l’agriculture.
🤝 Parallèlement, le groupe accompagne ses collaborateurs dans cette transition pour qu’ils puissent identifier à la fois les nouvelles opportunités et les limites liées à l’intelligence artificielle. L’objectif est clair : faire de l’IA un véritable atout pour la productivité, aussi bien individuelle que collective.
Pour plus d’informations sur les actions d’InVivo en faveur d’une agriculture responsable, cliquez sur ce lien.
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4 - Activités gratuites pendant les vacances ! 👍 |
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Les piscines, les musées et la patinoire sont gratuits ! (Photo : Adobe Stock).
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En ce début de vacances de la Toussaint, la mairie propose de multiples sorties gratuites pour les enfants.
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À savoir 🧑🧒 |
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La Ville reconduit en cette période de congés scolaires, jusqu’au 3 novembre, son dispositif “Pass’ vacances” créé en 2022.
Il permet un accès gratuit pour les - de 12 ans, étendu à un accompagnateur par enfant, aux équipements sportifs et culturels sur simple présentation d’un justificatif d’âge.
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Que faire ? 🤷♀️ |
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L’accès à 5 des 13 piscines municipales (Les voir), est gratuit durant toutes les vacances du lundi au samedi de 8h à 19h.
5 autres proposent toute la semaine y compris le dimanche des programmes “Aisance aquatique” et/ou “J’apprends à nager”.
7 jour sur 7, le palais omnisports Marseille Grand-Est offre, sur réservation, l’accès à la patinoire et au skatepark avec le prêt de matériel inclus.
“Pass’ vacances” permet aussi de visiter, en famille, les musées municipaux pour voir, par exemple, l’exposition “Panoramas” sur les collections des musées de Marseille (Vieille Charité) avec des visites commentées (les mercredis à 15h et le week-end à 14h).
Le musée d’archéologie méditerranéenne lance un atelier “Archéologues en herbe” (du 29 au 31 octobre de 14h à 16h30) à partir de 7 ans, et le musée Cantini convie à des ateliers photographiques en famille dès 6 ans.
Les musées municipaux sont ouverts du mardi au dimanche de 9h à 18h.
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Bonus 🧟♂️ |
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Des animations seront également proposées le jeudi 31 octobre à l’occasion d'Halloween avec des ateliers de maquillage et des projections de dessins animés. Voir le programme complet.
Les enfants sont invités à venir déguisés et à se prendre en photo devant leur œuvre préférée.
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5 - Le Portrait : Chiara Caruso, une artiste singulière 📸 |
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L’Italienne qui a adopté la cité phocéenne multiplie les talents (Photo : L.Porcher)
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Débarquée à Marseille voici 10 ans, la chanteuse napolitaine est une saltimbanque dans l’âme.
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Sa formation 🎵 |
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Originaire d’Isernia, dans le Molise (Sud de l’Italie), Chiara Caruso vient d’une terre montagneuse qui a forgé son identité. “Quand on faisait 10 kilomètres, on changeait complètement de dialecte et d’influences”, s’émeut-elle. Et de poursuivre : “j’ai débuté en chantant des sérénades sous les balcons à Naples quand j’y suis allée étudier l’arabe à 18 ans.” Là, elle découvre sa passion pour l’engagement social. “J’ai participé à des actions pour la gestion des déchets et travaillé avec des chômeurs dans des centres sociaux”, précise-t-elle. Son expérience militante l’amène à
poursuivre des études au conservatoire de Turin, où elle obtient un master en théâtre social.
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Son parcours 🚶♀️ |
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La saltimbanque débarque à Marseille en 2014. “Avec ses oliviers et ses murs grecs, je me suis tout de suite sentie chez moi. On peut discuter et rencontrer facilement des gens. On partage les mêmes codes culturels propres aux 2 côtés de la Méditerranée.” Elle a été d’abord artiste de rue. “J’ai joué sur le Vieux-Port avec ma marionnette Django Reinhardt tout un été. Au fil des rencontres, j’ai animé des ateliers dans les quartiers”, se remémore-t-elle.
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Ses projets 📋 |
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Chiara Caruso est en résidence au Pôle instrumental contemporain (Pic) avec “Novella”, conte à décompte traditionnel abordant les discriminations et le post-colonialisme. L’artiste de 41 ans met en avant la matérialité et le savoir-faire. “J’aime faire des choses avec mes mains”, affirme-t-elle, insistant sur le soin du détail. “J’ai appris les techniques de filature de laine et de teinture végétale pour créer la tapisserie.” Elle en dévoilera une en avant-première au Mucem le 7 décembre. “J’y chanterai en duo avec le guitariste Luke Darlison. Pour la 1ère à la Cité de la Musique, je serai accompagnée de
Francesco Quartuccio, poly-instrumentiste napolitain.”
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