☕️ Bonjour,

Les membres du Conseil lillois de la jeunesse se réunissent en groupe de réflexion (Photo : Adobe Stock). 

“Parce que les jeunes ont aussi des choses à dire !”, telle est la devise du Conseil lillois de la jeunesse (CLJ), qui tient aujourd’hui une assemblée plénière d’installation.

De quoi parle-t-on ? 🗣️

• Créé en 2009, le CLJ se compose de jeunes âgés de 16 à 25 ans qui habitent, travaillent ou étudient à Lille, Lomme ou Hellemmes.

• Cette instance de participation citoyenne facilite le dialogue entre les jeunes et la municipalité, permettant d'aligner les politiques municipales sur les attentes et besoins des jeunes sur des thématiques comme la solidarité, la lutte contre le harcèlement ou encore la culture.

• L’autre objectif principal est d'informer la jeunesse sur les projets municipaux et lui permettre de donner son avis.

• Lors de l’assemblée plénière de ce soir, les membres se répartiront en 4 groupes de travail et décideront d’un thème attribué à chacun d'eux.

• Par la suite, il s'agit de mener des réflexions pour développer des projets ou mettre en place des actions concrètes.

Concrètement 🧐

• Parmi les grandes réalisations achevées l’année dernière par le CLJ, on peut noter le travail mené avec le Palais des Beaux-Arts de Lille, qui vise à faciliter l’accès à la culture pour les jeunes.

• Pour ce faire, Marie-Pierre Bresson, adjointe au maire chargée de la Culture, a demandé au CLJ de donner son avis sur l’attractivité du musée et sur son aménagement.

• En février dernier, les propositions des jeunes ont été présentées, parmi lesquelles figurent une meilleure communication et la multiplication des visites sensorielles, ou encore la scénarisation des visites avec des jeux de piste ou des escape games.

Un maillot dédicacé du pongiste Félix Lebrun est mis aux enchères ce soir (Photo : Tous Cancernés).

Aujourd'hui, l'association Les Ch’tis collecteurs propose à la vente des objets de sportifs pour la bonne cause. L'événement sera suivi d’une soirée d'humour en partenariat avec le Spotlight.

Le concept 👨‍⚖️

• Les Ch’tis collecteurs proposent ce soir la 3^e édition de leur opération #TousCancernés.

• Des vêtements et accessoires sportifs ayant appartenus à des professionnels sont collectés tout au long de l'année en vue d'être vendus aux enchères. Tous les bénéfices sont reversés à La ligue contre cancer - Comité Nord.

• Le projet est porté par Antony Canonne, habitant de Croix, qui a fondé l'association en mémoire de son père, passionné de foot et de sport, décédé en 2016 d’un cancer du pancréas.

• L'événement a lieu ce soir à l’espace culturel Jacques-Brel, 137 rue Jean-Baptiste Delescluse à Croix. Dès 18h, les pièces sont découvrir et à 18h45 la vente débute. Elle est aussi à suivre en ligne via drouot.com.

Des pièces uniques 🏃‍♂️

• Ballons, maillots, baskets, casquettes, gants… 72 objets, utilisés dans diverses disciplines sportives, sont proposés aux acheteurs. Tous ont été “soit portés, soit autographiés et offerts gracieusement par des fédérations, clubs ou encore des sportifs eux-mêmes”, précise l’association.

• Vous pouvez acquérir, entre autres, les maillots des frères Lebrun, stars du tennis de table, la robe à paillettes portée par Camille Lacourt lors des épreuves de natation des JO, des chaussures de Bixente Lizarazu…

• Certains pièces viennent d’équipes de la région, comme celles des joueuses de basket de Villeneuve-d’Ascq (championnes de France 2024), du racing club de Lens ou encore de l’athlète Audrey Feutrie, championne d’aviron.

• Vous êtes tentés ? Parcourrez le catalogue ici.

Mais aussi 🎭

• À la suite des enchères, au même endroit, 7  humoristes monteront sur scène pour un comedy club en partenariat avec la salle de spectacle lilloise Le Spotlight.

• Les billets sont au prix unique de 5 €. Cet argent servira à financer de futurs projets des Ch’tis collecteurs. Réservation et programmation complète par ici.

Pour atteindre le sommet du beffroi, il faut gravir 415 marches (Photo : Adobe Stock). 

Le 16 octobre 1932, Lille inaugure son beffroi, un géant de 104 m qui domine la ville et offre un panorama à couper le souffle.

Une construction XXL 🏙️

• Bâtiment emblématique du style Art déco, le beffroi de l'hôtel de ville témoigne de la reconstruction et de la modernisation de Lille dans les années 1920-1930.

• Son édification entre 1924 et 1932, que l’on doit à l’architecte lillois Émile Dubuisson, résulte de la disparition de l’ancien hôtel de ville qui se trouvait dans le Palais Rihour. Ce dernier a été ravagé par les flammes en avril 1916.

• Il s’agit du plus haut beffroi civil d'Europe et du 1^er édifice de cette taille entièrement construit en brique et béton armé. Il est classé au Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2005.

Inauguration en grande pompe 🥳

• "Le 16 octobre, tous à Lille !" tel est le message affiché dans la capitale des Flandres et dans les communes voisines pour fêter la fin des travaux.

• Pour faire rayonner la ville, la communication est intense avec au total, 95 affiches dans Lille, 820 pour le Nord, le Pas-de-Calais, la Somme et l’Aisne et 280 pour la Belgique.

• Concerts, réceptions, cortèges, illuminations ou encore feu d’artifice sont organisés pour l’occasion. 

Entre les lignes 🚧

• Les festivités traduisent la volonté du maire Roger Salengro de rénover Lille et de mener une politique urbaine ambitieuse. Le but est de moderniser la ville, d'améliorer les conditions de vie et de renforcer son rôle de capitale régionale.

• Lors de l’inauguration, il déclara : “Notre beffroi [...] proclamera notre foi dans le travail, qui doit être, non plus une servitude mais une joie, il portera jusqu’aux nues, la fierté de la Flandre.”

L’idée est d’offrir aux patients une alimentation qui correspond à leur traitement (Photo : Adobe Stock).

En informant sur les interactions entre certains aliments et la prise de traitements, l’application Eat’s Ok, disponible depuis mi-juillet, permet aux malades de se faire plaisir sans aucun risque.

Le constat 💊

• Il existe plus de 65 000 médicaments différents, ayant pour chacun d’entre eux leurs spécificités. Parmi eux, on constate environ 100 adaptations à divers régimes alimentaires.

• En France, plus de 21 M de personnes sont atteintes de maladies chroniques (diabète, asthme, hypertension, problèmes cardiovasculaires…) et suivent un traitement quotidien.

• Les professionnels de santé peinent encore à prescrire des recommandations alimentaires adaptées en raison de lacunes hygiéno-diététiques. 

• Près de 6 malades sur 10 ne sont pas ou mal renseignés sur les habitudes alimentaires à adopter.

Une solution innovante 📱

• La société Pharmacodietetics s’est emparée du sujet dès 2020. Eat’s Ok a été développée par le directeur et docteur en pharmacie Grégory Guilbert à Loos, en partenariat avec des pharmaciens et nutritionnistes.

• Après avoir scanné un médicament, l’application informe et propose des menus quotidiens et des idées de recettes saines et adaptées, concoctées en collaboration avec des chefs cuisiniers et pâtissiers.

• Eat’s Ok est rapidement devenue un outil de référence pour accompagner les personnes ayant un traitement pour les maladies chroniques. L’Organisation mondiale de la santé fait partie des nombreux organismes à l’avoir validée.

Une nouvelle qualité de vie 😎

• Eat’s Ok est une application tout en 1. En plus des suggestions de recettes, de nombreux autres services sont proposés (rappels de prise de médicaments, commande de listes de courses en ligne…). De quoi appréhender son traitement avec moins de stress !

• Les aidants et accompagnants trouvent aussi leur bonheur, avec l'accès à divers podcasts, articles et témoignages sur la vie entourée de malades ou patients. 

• Grégory Guilbert pense déjà à la suite, en voulant développer l’application pour la restauration hospitalière.