|
2 - Bien vieillir à Lyon 🤝 |
|
|
Environ 20 % de la population lyonnaise est âgée de 60 ans ou plus (Photo : Adobe Stock).
|
Durant 2 jours, l’Opéra va vivre au rythme du Défi Autonomie 2024, un événement pensé pour réfléchir à la manière d'avancer en âge sereinement.
|
À propos 🧓🏻 |
|
Ce rendez-vous s’adresse aux seniors, leurs proches et aux professionnels de santé. Il se tient aujourd’hui et demain place de la Comédie (Lyon 1ᵉʳ).
Sur le thème « Bien vieillir en harmonie », le salon propose des conférences, ateliers pratiques et espaces de prévention pour accompagner les Lyonnais dans cette étape de vie.
Accessible gratuitement, il met à disposition des ressources concrètes pour améliorer la qualité de vie des seniors. Inscriptions en ligne sur defi-autonomie.com ou directement sur place.
|
Les enjeux 🎯 |
|
À Lyon, environ 20 % de la population est âgée de 60 ans ou plus, selon les données de l’Insee. En raison du vieillissement croissant, ce chiffre devrait encore augmenter dans les années à venir.
Avec l’espérance de vie qui s’allonge, les besoins des seniors évoluent, notamment en termes de santé, d’habitat et d’activités adaptées.
Des initiatives comme le Défi Autonomie deviennent cruciales pour anticiper ces attentes, mais aussi pour briser l’isolement qui touche près de 30 % des seniors.
|
L’info en plus 🪪 |
|
Dans le même esprit, la Ville a récemment annoncé la baisse de l’âge d’accès à la Carte Senior à 60 ans, contre 65 ans auparavant.
Gratuite, elle permet d’accéder à des activités culturelles, sportives ou sociales à tarifs réduits et horaires adaptés. Pour l’obtenir, c'est par ici. Sinon, la municipalité tiendra un stand pour la présenter lors du Défi Autonomie.
Plus de 36 000 Lyonnais bénéficiaient de cette carte. Il est désormais élargi à un public plus jeune, n’ayant pas encore atteint l’âge de la retraite. De quoi favoriser une transition en douceur.
|
|
|
|
|
|
3 - Une semaine dédiée à l’emploi et au handicap ♿ |
|
|
La semaine vise à améliorer les conditions d'accueil en entreprise des travailleurs handicapés (Illustration : Adobe Stock).
|
Ce lundi marque le lancement de la 28e Semaine européenne pour l'emploi des personnes handicapées.
|
Les bases 📌 |
|
Selon l'IFOP, près de 90 % des personnes en situation de handicap déclarent avoir déjà été traitées de manière injuste au sein des entreprises.
C’est pour lutter contre cette discrimination que cette semaine a été créée. Cette année, le thème retenu est « Handicap et parcours professionnel : Comment assurer une vraie égalité des chances ? ». Le programmes des actions.
Jusqu’au 24 novembre, « une campagne de sensibilisation au handicap est menée dans les entreprises », nous indique Jérôme Adami, directeur de l’ANRH de Lyon. Comment ? Grâce à des conférences, des jeux, ou encore des ateliers.
« Le DuoDay prévu jeudi permet, par exemple, à une personne en situation de handicap de réaliser un stage d’une journée en entreprise avec un collaborateur », ajoute-t-il.
|
Zoom sur 🔎 |
|
L’ANRH, association d’utilité publique, apporte des solutions concrètes pour intégrer ces travailleurs dans 25 établissements en France. À Lyon, elle possède sa propre entreprise adaptée.
L’antenne rhodanienne emploie 60 personnes « qui exercent dans 3 principaux métiers en lien avec des entreprises du territoire : accueil physique et téléphonique en entreprise, services aux collaborateurs et prestations administratives dématérialisées », détaille Jérôme Adami.
Des contrats d’insertion, des CDD et des CDI, à temps plein ou partiel, sont proposés. Ces travailleurs bénéficient d’horaires adaptés et d’un accompagnement personnalisé grâce à une assistante sociale. À noter : notre région est celle qui compte le plus d'établissements adaptés.
« L’objectif est de déconstruire des préjugés, mais aussi qu’à terme, les personnes en situation de handicap rejoignent des entreprises classiques », conclut notre interlocuteur.
|
|
|
|
|
|
4 - Gagnez vos places de cinéma 🎬 |
|
|
Venez revoir vos films préférés toute la semaine au Pathé Bellecour (Photo : Adobe Stock).
|
À partir d’aujourd’hui et jusqu’à vendredi, le Pathé Bellecour, en collaboration avec BNP Paribas, offre 1 000 billets pour voir ou revoir des films cultes.
|
De quoi s'agit-il ? 🎟️ |
|
Pour la 3ᵉ année consécutive, BNP Paribas lance l’opération We Love Cinéma dans 10 villes de France.
C’est l'occasion de revoir sur grand écran des œuvres qui ont marqué une génération et qui ont quitté les salles obscures depuis bien longtemps.
En partenariat avec l’événement #Cinéculte, le Pathé Bellecour remet à l’affiche une dizaine de films pour les grands et les petits (Le Journal de Bridget Jones, Harry Potter à l’école des sorciers, Aladdin, Le Parrain, Le Nom de la Rose…).
5 jours de projections sont programmés, avec vendredi, une avant-première exclusive de Leurs enfants après eux, film adapté du roman prix Goncourt 2018. Découvrez la programmation.
|
Ce qui compte 🎁 |
|
Pour tenter votre chance et remporter votre invitation pour 2 personnes, il suffit de sélectionner la séance qui vous intéresse et de créer un compte. Un tirage au sort est effectué chaque jour.
La filmographie de cette édition est basée sur un critère unique : chacun des films est adapté d’une œuvre littéraire incontournable.
« L’idée, c’était de rappeler des souvenirs à ceux qui avaient déjà vu ces films au cinéma, mais aussi permettre aux plus jeunes de découvrir ces œuvres dont ils auraient entendu parler sur grand écran. Nous restons persuadés que la salle de cinéma est un formidable endroit pour vivre de belles émotions ! », explique Estelle Couty, responsable des partenariats cinéma BNP Paribas.
|
Pour l'anecdote 💡 |
|
BNP Paribas accompagne le 7ᵉ art depuis plus de 100 ans. Apparu à la fin du XIXe siècle à Lyon, le cinéma est, dès l’origine, une industrie qui nécessite des investissements conséquents.
Peu de banques de dépôts opèrent dans ce secteur naissant. La Banque Nationale de Crédit, ancêtre de la BNP, fait figure de pionnière en apportant un soutien financier.
Aujourd'hui, la banque poursuit ses missions en faveur du cinéma à travers des partenariats avec des festivals et la valorisation de projets cinématographiques.
|
|
|
|
|
|
5 - Le portrait : François Petit, grimper toujours plus haut 🧗 |
|
|
Le grimpeur est aujourd'hui à la tête du plus grand réseau de salles d'escalade de France (Photo : Climb Up).
|
Champion du monde d’escalade en 1997, il s’est mué, depuis, en entrepreneur à succès en créant Climb Up depuis Lyon. Pour l’Essentiel Lyon, il raconte son parcours.
|
Une passion précoce 🏔️ |
|
Né en plein cœur des montagnes, François Petit s’attaque très tôt aux plus hauts sommets, avec l’ascension du Mont-Blanc à seulement 10 ans, et devient un redoutable grimpeur.
« Je suis un compétiteur dans l’âme. J’ai voulu être le meilleur en escalade », raconte-t-il. Cela devient réalité en 1997 lorsqu’il est sacré champion du monde de sa discipline. En parallèle, le jeune homme suit des cours à l’INSA pendant 7 ans, en section sport-études : « Après l’école, j’allais grimper le soir à Gerland ».
En 2001, diplôme en poche, il gravit surtout les échelons du Mur de Lyon jusqu’à en devenir le directeur en 2010.
|
Une sacrée ambition 🔝 |
|
Dans la foulée, il fonde Climb Up en se basant sur le concept de la salle du 7ᵉ arrondissement. Au départ, il ambitionne d’acquérir un établissement par an. Ce fut plutôt 7 ou 8. « J’aime avoir des objectifs élevés. C’est un peu comme l’escalade finalement », analyse François Petit.
Fort de son expérience et de ses connaissances entrepreneuriales, il développe des salles novatrices, tant sur le plan économique que sportif. « Je suis très exigeant quant à la qualité d’ouverture des voies », souligne-t-il.
Saunas, jeux de lumières, activités annexes… L’ancien champion apporte une touche unique à chaque enseigne. Il en possède aujourd’hui une trentaine partout en France, ce qui fait de Climb Up le 1ᵉʳ réseau d’escalade du pays.
D'ici à 2030, François Petit ambitionne de faire grimper ce chiffre à 100. « La compétition et l’entrepreneuriat, c’est assez similaire. Plus on vise haut, plus c’est important d’arriver à emmener tout le monde, nos collaborateurs, nos clients, avec nous », conclut-il.
|
|
|
|
|
|