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2 - Les bons réflexes face aux maladies hivernales 🤒 |
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L’un des buts est d’inciter à la vaccination les personnes à risque (Photo : AFD35).
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L’Association française des diabétiques (AFD) Bretagne et l’Inter-URPS Bretagne organisent un café diabète ce soir, à
18h30, au sein des locaux de MBA Mutuelle à Saint-Jacques-de-la-Lande.
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De quoi s’agit-il ? 🧑⚕️ |
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L’objectif de ce temps d’échange, en présentiel ou à distance sur inscription, est d’informer les patients atteints de diabète et leur entourage sur les pratiques en vigueur afin de se prémunir des maux de l’hiver.
“On pense surtout à la grippe, au Covid et au pneumocoque”, énumère pour l’Essentiel Rennes, Dominique Lemaire, président de l’AFD35.
Outre les rappels sur les gestes barrière, l’idée est de mettre en avant les vaccins existants.
En tant que diabétique, pourquoi se faire vacciner ? Et contre quelles maladies infectieuses ? Un élu de l’Union régionale des professionnels de santé (URPS) ainsi qu’un patient expert de l’AFD tâcheront de répondre à ces questions.
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Pourquoi c’est important ? 💉 |
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Le but est aussi d’essayer de convaincre, parce que la notion de vaccination fait encore peur.
Or, selon Dominique Lemaire, “une personne diabétique ayant la grippe, c’est 3 semaines au lit avec 40°C de fièvre avec certains cas d’hospitalisation. D’où l’importance de la vaccination pour les patients à risque.”
Le public est d’ailleurs sondé durant l’échange : pour ou contre un tel vaccin ? “Puis on regarde le nombre de personnes qu’on a converti aux bonnes pratiques”, poursuit le responsable. “Se faire vacciner, c’est protéger les siens. On est convaincu que c’est indispensable."
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Le contexte 💊 |
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Selon l’AFD, qui vise à représenter les 4 millions de patients diabétiques du pays, la région Bretagne a une “prévalence” (nombre de cas d’une maladie dans une population à un moment donné, NDLR) parmi les moins élevées avec un taux à 4,7% de la population touchée (contre 6,3% au niveau national).
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3 - Un job dating au centre Alma 🧑💼 |
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Les candidats vont pouvoir enchaîner plusieurs entretiens à la suite (Photo : Adobe Stock).
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Une trentaine de postes sont proposés par une dizaine d’enseignes installées dans la galerie marchande et d’autres sociétés extérieures. Les entretiens ont lieu entre 13h et 17h au sein de la Place Carrefour.
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De quoi s’agit-il ? 🧍 |
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Dans le cadre du programme “URW for Jobs” déployé dans tous les centres de shopping du groupe Unibail-Rodamco-Westfield, le centre commercial Alma propose un grand job dating pour
faciliter l’embauche sur son territoire.
En partenariat avec l’agence Rennes Sud de France Travail, les demandeurs d’emploi auront la possibilité de découvrir des employeurs et leurs secteurs de métier, de postuler à des offres d'emploi et passer des entretiens d’embauche.
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Dans les coulisses 📝 |
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Pour cette édition, une trentaine de postes sont à pourvoir par une dizaine d'enseignes présentes dans le centre commercial (O'Tacos, Stradivarius, Du Bruit dans la Cuisine, Jules, Vib's, etc.) et des partenaires extérieurs (Samsic, King Jouet, Novotel).
Les entretiens ont lieu dans le cadre d’un speed recruiting. “Ce format permet aux candidats de passer plusieurs entretiens express avec différents recruteurs en une seule session, maximisant ainsi leurs chances de trouver un emploi”, expliquent les organisateurs.
Les candidats doivent se munir de leur CV actualisé.
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Bonus 🗞️ |
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Un second rendez-vous destiné à l’emploi local a lieu ce jeudi dans la métropole rennaise. Il se déroule à la Glaz Arena de Cesson-Sévigné de 10h à 17h. L'entrée est libre.
L’événement est organisé par la rédaction rennaise du média Actu.fr dans le cadre de son Job dating Tour organisé dans 50 villes en France.
“À l’occasion de cet événement, de nombreuses offres d’emploi seront proposées par des entreprises de la région rennaise dans des domaines variés, qui s’adressent à l’ensemble des catégories socio-professionnelles”, indique Actu Rennes.
“Le principe, très simple, est celui d’un job dating traditionnel : le candidat, intéressé par une entreprise ou un poste, peut s’adresser directement à la personne chargée du recrutement afin d’avoir toutes les précisions nécessaires”, précise le média.
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4 - Comment devenir réserviste des armées ? 🪖 |
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Au 1er août 2024, la France compte 43 773 réservistes sur un objectif affiché de 52 000 (Photo : Ministère des Armées).
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Intitulé “Fier d’être réserviste”, ce rendez-vous a pour objectif d’inciter les étudiants à s’engager pour servir dans l’armée. Il est organisé dans l’amphithéâtre Condorcet de l’INSPE de 12h30 à 14h. Entrée libre.
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Pour bien comprendre 🫡 |
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Dans le cadre des Journées nationales des réservistes (JNR), la cellule rayonnement de la zone de défense et de sécurité Ouest organise un temps de présentation du fonctionnement de la réserve opérationnelle militaire.
Le Lieutenant-colonel Jean-Luc, officier de réserve adjoint du général commandant la zone de défense Ouest, vient évoquer les diverses missions assurées et l’intérêt de se lancer dans une telle démarche.
“Il y aura aussi des étudiants réservistes qui témoigneront de leur expérience personnelle et de ce que leur apporte cet engagement”, indique un militaire.
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Ce qu’il faut savoir 🎖️ |
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La réserve opérationnelle militaire consiste à apporter un renfort temporaire aux forces armées pour la protection de la France ou à servir dans une entreprise qui participe au soutien des forces armées.
“Par exemple, lors des vacances scolaires, les étudiants réservistes peuvent intégrer l’opération Sentinelle qui sert à lutter contre la menace terroriste”, précise notre source.
Chaque participant peut s’engager en fonction de ses disponibilités pour un contrat allant de 5 à 120 jours par année civile en échange d’une solde qui varie selon le grade détenu.
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Les bases 🏋️ |
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Pour pouvoir intégrer la réserve opérationnelle militaire, il faut être âgé d’au moins 17 ans et demi. Les mineurs doivent obtenir une autorisation parentale pour postuler.
“Chaque candidat doit suivre une formation dont la durée varie en fonction de la force armée choisie”, souligne-t-il. “Il doit être en bonne santé pour réussir plusieurs épreuves physiques.”
Une maîtrise des armes à feu est également un prérequis - des exercices de tir ont lieu durant la formation - car un réserviste est autorisé à porter une arme si sa mission le nécessite.
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5 - L’entretien : Titouan Castryck, médaillé d’argent aux JO 2024 🥈 |
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Le kayakiste a été décoré de l'Ordre national du mérite sur les Champs-Elysées par Tony Estanguet, le patron des Jeux olympiques de Paris le 14 septembre dernier (Compte Instagram Titouan Castryck).
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Vice-champion olympique de slalom kayak cet été sur le bassin de Vaires-sur-Marne, le Cessonnais vient d’achever sa saison le week-end dernier avec 2 nouvelles médailles d’argent décrochées lors d’une épreuve en Chine.
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Votre vie a-t-elle beaucoup changé après les JO ? 🤝 |
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“J’ai reçu un paquet de sollicitations. Il y en avait tellement que j’ai dû faire un tri. J’ai coupé l’entraînement pendant un mois complet pour participer à ces événements. J’ai passé des moments incroyables.
J’ai quand même parfois été chagriné que des gens veulent davantage voir et toucher ma médaille que de discuter avec moi ou évoquer ma discipline. J’ai constaté qu’il y avait encore beaucoup d’efforts à faire pour que le kayak soit mieux connu du grand public.
J’ai aussi participé à de nombreuses rencontres avec des jeunes. J’y ai pris beaucoup de plaisir. Je ne me considère pas comme un exemple, mais si je peux leur donner envie de faire du sport et pourquoi pas du kayak alors tant mieux.”
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Quels sont vos prochains objectifs ? 🛶 |
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“J’attends avec impatience de retrouver mon quotidien de sportif de haut niveau et sortir de cette vie exceptionnelle. Je sais que je vais retrouver la motivation. Je n’ai pas forcément un esprit de revanche par rapport à cet été même si ma 2e place m’a frustré.
En 2025, il y a de beaux objectifs à commencer par les championnats d’Europe sur le bassin de Vaires-sur-Marne où j’ai décroché la médaille olympique et qui est mon lieu d’entraînement habituel. En octobre, il y aura aussi les championnats du monde en Australie.
L’objectif est de décrocher une médaille à chaque fois. Ce serait mes premières en individuel chez les seniors lors de ces rendez-vous majeurs."
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Quel est votre rapport à la métropole rennaise ? |
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“C’est un endroit qui compte beaucoup pour moi. C’est là que j’ai grandi, que j’ai rencontré de nombreux amis. Il y avait d’ailleurs 3 d’entre eux cet été aux JO pour me soutenir au bord du bassin.
Ces 3 dernières années, je ne suis pas beaucoup rentré à cause de l’entraînement intensif à Vaires-sur-Marne. J’essaie de le faire au maximum mais les allers-retours sont fatigants.
Après les JO, j’ai profité d’une coupure pour y passer un mois entier avec mes amis. Une chose est sûre : on est bien mieux ici qu’en région parisienne.”
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