☕️ Bonjour,

Des professionnels du secteur vont présenter leur métier (Photo : Adobe Stock).

Un événement est organisé cet après-midi place Hoche (de 14h30 à 19h30) pour mettre en lumière la richesse et la diversité de ce secteur qui recrute dans la région.

Le contexte 🤝

• Ce rendez-vous, ouvert au grand public, est organisé dans le cadre de la première édition des Rencontres des métiers du commerce qui vont durer jusqu’au 23 octobre.

• Celles-ci sont gérées par l’Opcommerce, l’opérateur de 20 branches professionnelles du commerce, qui rassemble 160 000 entreprises et 1,7 million de salariés en France.

• Plus de 300 événements sont prévus dans toute la France dont 5 en Bretagne. La plus importante opération de communication dans la région est celle qui a eu lieu cet après-midi place Hoche.

De quoi s’agit-il ? 📝

• Une “caravane” des métiers va s’installer dans le centre-ville de Rennes. Plusieurs animations sont proposées en lien avec diverses professions : conseiller de vente, manager de rayon, responsable de magasin, responsable service après-vente…

• Des professionnels du secteur seront présents pour présenter leurs activités, la diffusion de vidéos métiers, des immersions en réalité virtuelle dans les métiers du commerce, la création de CV motivationnels ou de quiz de personnalité.

• L’événement s’adresse à la fois aux jeunes (collégiens, lycéens, étudiants), aux demandeurs d’emplois ou aux adultes en reconversion.

Elle l’a dit 🗣️

• “Le commerce, c’est un univers riche et varié. Il rassemble des entreprises de toute taille, de la petite entreprise familiale au grand groupe international”, énonce Laëtitia Lequertier, déléguée régionale Bretagne de l’Opcommerce.

• “Partout où il y a des consommateurs, il y a du commerce et sous toutes les formes, en physique ou en ligne, alimentaire ou non-alimentaire, et en tout lieu, en centre-ville, en périphérie des agglomérations, en milieu rural. C’est cette diversité que nous souhaitons valoriser”, précise-t-elle.

  
  

Des chiffres 🧑

• En Bretagne, les 20 branches professionnelles de l’Opcommerce représentent plus de 75 000 salariés, dont 87% sont en CDI.

• L’an dernier, 5 177 contrats d’apprentissage ou de professionnalisation ont été signés dans ce secteur dans la région.
  

Des documentaires de la cinéaste Ai Xiaoming seront projetés (Photo : Comptoir du Doc).

Le festival de cinéma Made in China revient à partir d’aujourd’hui jusqu’à dimanche au cinéma Arvor. Pour sa 6^e édition, il présente une programmation 100% féminine.

De quoi parle-t-on ? 🇨🇳

• Made in China est un festival de cinéma documentaire consacré aux cultures chinoises.

• Il est organisé par l’association Comptoir du doc, qui regroupe des passionnés de cinéma documentaire, en partenariat avec l’Institut Confucius de Bretagne qui ambitionne de faire mieux connaître, partager la langue et les cultures chinoises en Bretagne.

• Cette année, il rend hommage aux réalisatrices chinoises et notamment à la cinéaste militante féministe Ai Xiaoming.  

Entre les lignes 🚺

• “Si les questions féministes, bien sûr, nous intéressent, nous avons sélectionné des œuvres aux sujets variés. Il ne s’agit pas de cantonner les femmes cinéastes à des sujets féministes”, souligne Elodie Gabillard, chargée de programmation du festival.

• “Tantôt portraits, films de familles, de voyages, enquêtes, ou récits de luttes, les films sélectionnés viennent de toute la sinosphère et s’attachent à témoigner de la diversité des regards, des langues et des traditions des cultures chinoises présentes tout autour du monde”, ajoute-t-elle.

Que regarder ? 👀

• Le festival comprend la projection de 8 films documentaires jusqu’à dimanche. La plupart sont inédits en France (voici la programmation complète). 

• Parmi eux, celui intitulé “Nos enfants” d’Ai Xiaoming qui revient sur les effondrements d’écoles causés par un tremblement de terre dans le Sichuan en 2008 qui avait engendré la mort de plus de 5 000 enfants. 

• Des rencontres avec 4 réalisatrices (Zeng Jinyan, Ji Dan, I-Chu Lin et Zhou Yunyun) sont aussi prévues. 

• Dimanche, un atelier consacré à la cuisine chinoise avec la préparation de raviolis est organisé à partir de 10h30 au Gabier Noir. Il sera suivi d’un brunch (à 13h) en présence des cinéastes invités. Réservation sur inscription.
  

"Nous sommes une entreprise bretonne qui revendique son identité" (Photo : Leocare).

La société, dont le siège se trouve à Cesson-Sévigné, est spécialisée dans la souscription de contrats d’assurance multiservices via son téléphone portable. Lancée en 2017, elle vient de franchir le cap du million de téléchargement de son application. Un chiffre multiplié par deux en 2 ans. Une croissance qui témoigne de l’intérêt pour cette solution. Son chiffre d’affaires pour 2025 devrait avoisiner les 50 millions d’euros.

Leocare en quelques mots, c’est quoi ? 🏠

“C’est une solution d’assurance digitale pour le grand public. Nous assurons les biens du foyer ou encore les animaux de compagnie. Nous proposons une adhésion et une gestion de contrat 100 % mobile depuis un espace client.
Notre solution permet aux utilisateurs de gagner du temps en mettant de côté l’aspect administratif parfois lourd et de profiter d’offres personnalisées en fonction de l’évolution de leur parcours de vie.

Le digital nous donne la possibilité de s’adapter et être réactif aux besoins de nos clients. Ils peuvent ainsi bénéficier de la bonne garantie au bon moment.

Notre solution n’intéresse pas que les jeunes ou les digital natives. Nos utilisateurs ont entre 30 et 55 ans et sont majoritairement des femmes (60 %).”

Vous voulez être l’assurance du quotidien, ça signifie quoi ? 🚗

“Nous voulons que l’assurance soit vu comme une commodité et non un bien consommable. Pour cela, nous insistons sur la vocation servicielle. Le but est de ne pas intervenir seulement en cas de sinistre et de donner du sens au prix des cotisations.

Notre assurance se fixe aussi pour objectif d’anticiper les besoins des clients et leur simplifier la vie. Par exemple, grâce à une simple photo, ils peuvent analyser l’usure des pneus de leur voiture. Nous envoyons aussi une alerte lorsque le contrôle technique doit être réalisé.

Nous avons aussi développé le service “Take Care” : nous avons récupéré des données GPS en lien avec les accidents corporels. Ceci nous permet notamment d’avertir les conducteurs lorsqu’ils entrent dans une zone à risques."

Quelle est votre ambition pour les années futures ? 👋

“Nous avons un enjeu de notoriété et de reconnaissance, notamment au niveau local. La région Bretagne est la moins représentée dans notre portefeuille client. C’est une frustration car nous sommes une entreprise bretonne qui revendique son identité.

Nous portons aussi le combat pour que le sujet de l’assurance fasse l’objet d’une intervention d’une heure dans les lycées. Les jeunes français ont une méconnaissance de ce secteur ce qui suscite beaucoup d’incompréhension.”