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Et Aussi : La santé au féminin ; Un Fundtruck pour Start-up ; Alfonso Nsangu sur scÚne...
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l'Essentiel | Strasbourg


⏱ Temps de lecture : 5 minutes soit 1 620 mots

☕ Bonjour,

 

🌥 MĂ©tĂ©o : La journĂ©e commence sous un ciel nuageux avant de s'Ă©claircir lĂ©gĂšrement l'aprĂšs-midi pour se terminer sous un ciel dĂ©gagĂ© en soirĂ©e (Min : 6° ; Max : 9°).

 

1 - L'info du jour : La M351 rendue plus fluide 🚎

l'Essentiel | Info du jour

La nouvelle voie, encore en travaux jeudi, permet de rejoindre le tram D au nĂ©o arrĂȘt Paul-Eluard (Photo : direction du chantier de l'amĂ©nagement multimodal de la M351 / TSPO).

Les nouvelles voies réservées pour le transport en site propre de l'ouest (TSPO) strasbourgeois sont inaugurées aujourd'hui.


POURQUOI ? 📌

  • Le public pourra, dĂšs demain, accĂ©der Ă  ce nouvel axe entre Wolfisheim et la centrale thermique de Hautepierre.

  • La mise en service de 5 kilomĂštres supplĂ©mentaires de voies rĂ©servĂ©es aux transports en commun, vient complĂ©ter les 2 voies de circulation dans les deux sens, facilitant les trajets des cars interurbains reliant les communes de l'ouest Ă  Strasbourg. 

  • Cette initiative permet de dĂ©sengorger les routes de ce secteur, oĂč le trafic atteint rĂ©guliĂšrement 85 000 vĂ©hicules par jour sur certaines sections, d'aprĂšs les chiffres de l'EuromĂ©tropole de Strasbourg (EMS). 

  • En rĂ©servant des voies dĂ©diĂ©es aux cars interurbains, le projet propose aux habitants des communes de l’ouest une alternative aux embouteillages, surtout en heures de pointe. 

ET AUSSI 🚍 

  • Cette extension s'accompagne de l’ouverture de la station de bus Paul-Eluard, connectĂ©e directement Ă  la ligne D du tram accessible par un escalier et un ascenseur.

  • Quatre lignes de la CTBR 67 s’y arrĂȘtent : L205, L209, L230 et L240. 

  • Cette configuration facilite les trajets intermodaux sans passer par le centre-ville pour rejoindre d’autres zones comme l’hĂŽpital de Hautepierre.

 EN CHIFFRES 📈 

  • FinancĂ© en grande partie par l'État, la RĂ©gion Grand Est, la CollectivitĂ© europĂ©enne d'Alsace, et pilotĂ© par l'EuromĂ©tropole de Strasbourg, ce projet d'amĂ©nagement multimodal se chiffre Ă  32 millions d'euros. 

  • Une hausse de 10 Ă  15 % de la frĂ©quentation des lignes de cars interurbains est attendue.

2 - Le Petit Beefbar s'installe Ă  Strasbourg 🍴

l'Essentiel

L’ambiance est tamisĂ©e, le code couleur doux. Un restaurant style bistrot (Photo : AurĂšle in the City).

Le Petit Beefbar ouvre ses portes en lieu et place du restaurant Au Pont des Vosges, à angle de l’Avenue des Vosges et du Quai Koch.



  • AprĂšs des mois de travaux, cette nouvelle adresse, du groupe parisien Giraudi, a accueilli, hier, ses premiers clients. 

  • À la carte, des plats de bistrot revisitĂ©s dont l’onglet aux Ă©chalotes, des clins d’Ɠil Ă  L’Alsace avec la tarte flambĂ©e beefy et des incontournables nostalgiques avec le foie de veau. 

  • « L’idĂ©e du Petit Beefbar c’est aussi le partage. D’oĂč une sĂ©lection d’entrĂ©es Ă  dĂ©couvrir Ă  plusieurs », prĂ©cise Alexandre Bousquieres, chef du Beefbar Paris. « Nous travaillons les viandes d’exception comme l’Angus et le Wagyu. Le bƓuf de Kobe sera aussi parfois proposĂ© », prĂ©cise-t-il.

  • Le Petit Beefbar propose un service tous les jours, avec 70 couverts en salle et une carte de cocktails Ă©laborĂ©e par Lilian Eich. En plus, une terrasse de 25 places est aussi disponible.


  • Les habituĂ©s du Pont des Vosges, qui a fermĂ© l'annĂ©e derniĂšre, reverront un visage familier : celui de Carine Jung, qui a travaillĂ© Au Pont des Vosges pendant 13 ans.

  • "Je suis plus qu’heureuse, je retrouve plein de personnes que j’ai connues ici, c’est un vĂ©ritable plaisir d’ĂȘtre de retour dans un concept nouveau", se rĂ©jouit la nouvelle directrice du Petit Beefbar. « Outre le fait que tout est neuf, on est dans un cadre Ă  la fois contemporain et chaleureux ».

  • L'ambiance est feutrĂ©e, avec des tons doux qui rappellent le style bistrot, visible Ă  travers les banquettes, les chaises, le nappage blanc et les serviettes en tissu.

  • Des tableaux de la galeriste AmĂ©lie Maison d’Art ornent les murs.


  • DĂ©rivĂ© du concept Beefbar, nĂ© Ă  Monaco en 2005, Le Petit Beefbar, dĂ©veloppĂ© depuis 2020, s'affiche comme « dĂ©contractĂ© chic » aussi bien dans son design que dans l’assiette. 

  • Strasbourg vient complĂ©ter les 32 Ă©tablissements et franchises dĂ©jĂ  installĂ©s dans le monde (Londres, Paris, Dubaï
). 

S'informer : Le petit Beefbar au 15 rue Koch. La formule dĂ©jeuner est Ă  29 € (entrĂ©e + plat).

3 - La santĂ© des femmes Ă  la loupe 🩺

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Certaines pathologies féminines sont souvent sous-estimées d'aprÚs des études récentes (Photo : Adobe Stock).

La FacultĂ© de mĂ©decine de l’UniversitĂ© de Strasbourg organise, ce soir, une confĂ©rence-dĂ©bat de son cycle intitulĂ© « Parlons santĂ© », ouverte au public.



  • La deuxiĂšme confĂ©rence de ce cycle aborde un thĂšme qui revient frĂ©quemment ces derniĂšres annĂ©es : les disparitĂ©s dans la prise en charge mĂ©dicale des femmes par rapport aux hommes. 

  • Les douleurs des femmes sont souvent sous-estimĂ©es, et certains diagnostics, comme l’infarctus du myocarde, se posent plus tardivement chez elles. 

  • Ces diffĂ©rences, qui ont Ă©tĂ© constatĂ©es par des Ă©tudes, ne relĂšvent pas seulement de la biologie, mais sont amplifiĂ©es par des stĂ©rĂ©otypes de genre prĂ©sents dans le systĂšme de santĂ©, observĂ©s par les organisateurs de la confĂ©rence. 

  • "La docteure qui fera la confĂ©rence dĂ©bute souvent en Ă©voquant des idĂ©es prĂ©conçues et des prĂ©jugĂ©s pour impliquer le public. Chaque participant reçoit deux cartons de couleur et les lĂšve en rĂ©ponse aux questions, ce qui crĂ©e un dialogue tout au long de la confĂ©rence", explique Manon Reinbolt, coordinatrice de recherche clinique Ă  la FacultĂ© de MĂ©decine du DĂ©partement de MĂ©decine GĂ©nĂ©rale.



  • Ignorer les spĂ©cificitĂ©s fĂ©minines retarde les soins et aggrave les pathologies. 

  • La confĂ©rence, animĂ©e par la Dr. AngĂ©lina Pace, qui a Ă©crit sa thĂšse en mĂ©decine gĂ©nĂ©rale sur cette question, met en lumiĂšre ces problĂ©matiques et sensibilise Ă  l’importance d’une Ă©coute attentive des patientes.

  • ”Nos rendez-vous ciblent, Ă  la fois, les professionnels de santĂ© et le grand public. Elles sont ouvertes dĂšs 14 ans, car nous privilĂ©gions la mĂ©diation et la vulgarisation scientifique”, souligne Manon Reinbolt.

  • Ces confĂ©rences sont intĂ©gralement financĂ©es dans le cadre d'un appel Ă  projets d'initiative d'excellence de l'UniversitĂ© de Strasbourg.

S'informer : FacultĂ© de mĂ©decine, 6 rue Kirschleger Ă  Strasbourg, parking gratuit disponible. Un buffet dinatoire est proposĂ© pour prolonger les discussions aprĂšs la confĂ©rence. Les inscriptions se font en ligne sur le site de l’UniversitĂ© ici.

UN MESSAGE D'ENGIE


ENGIE et l’association Rebond mettent toute leur Ă©nergie contre les violences faites aux jeunes et aux femmes

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ENGIE, engagĂ© dans la lutte contre toutes les formes de violences, soutient l’association Rebond, fondĂ©e par AngĂ©lique Cauchy (CrĂ©dit : Shutterstock).

 

📖 Le 9 octobre Ă©tait publiĂ© le livre Si un jour quelqu'un te fait du mal d’AngĂ©lique Cauchy, prĂ©sidente-fondatrice de l’association de lutte contre les violences sexuelles sur mineurs dans le sport, Rebond. Victime d'abus sexuels par son entraĂźneur de tennis Ă  l'Ăąge de 12 ans, AngĂ©lique Cauchy y brise le silence et tĂ©moigne des deux annĂ©es terribles qu’elle a vĂ©cues. Son ouvrage est un puissant appel Ă  la prise de conscience et un soutien indispensable aux victimes de violences.


🤝 Depuis un an, ENGIE, partenaire de l’association Rebond, accompagne cette courageuse initiative qui rejoint l’engagement du Groupe de lutter contre toutes les formes de violence afin de construire un monde plus respectueux et plus solidaire. Ainsi ENGIE, qui soutient prĂšs de 13 tournois de tennis au fĂ©minin en France, a souhaitĂ© que l’association Rebond rĂ©alise de maniĂšre systĂ©matique sur ces tournois des actions de sensibilisation, auprĂšs des jeunes et de leur entourage, Ă  la lutte contre les violences sexuelles et psychologiques sur mineurs dans le sport. Ce partenariat prolonge l’engagement d’ENGIE contre les violences, notamment celles faites aux femmes. En effet, depuis 3 ans, ENGIE soutient les actions du ministĂšre chargĂ© de l’ÉgalitĂ© entre les femmes et les hommes et la Lutte contre les discriminations en faisant apparaĂźtre sur toutes ses factures aux clients particuliers le 3919 ainsi que les numĂ©ros d’urgence pour les femmes victimes de violences.


🌍 Ces partenariats illustrent pleinement le programme de sponsoring et mĂ©cĂ©nat d'ENGIE, Impact Together, qui vise Ă  accĂ©lĂ©rer la transition vers une Ă©conomie neutre en carbone et s’articule autour de 3 piliers : sociĂ©tal, environnemental et « technology for care ». Plus spĂ©cifiquement ils reflĂštent le pilier sociĂ©tal de ce programme, dont l’objectif est de favoriser l’impact positif de chacun sur la sociĂ©tĂ© en accompagnant tous ceux qui imaginent et contribuent Ă  une transition Ă©nergĂ©tique dĂ©sirable dont chacun pourra bĂ©nĂ©ficier.


Pour plus d’informations sur les activitĂ©s de l’association Rebond, cliquez ici. 

4 - Lever des fonds au Fundtruck 👀

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Le Fundtruck Ă©tait en Ile-de-France avant de rejoindre le Grand Est aujourd'hui (Photo : Fundtruck).

Le concours Fundtruck fait escale Ă  Strasbourg, au Shadok, ce matin dĂšs 9h.



  • L'opĂ©ration Fundtruck est l’occasion pour les start-up locales de prĂ©senter leurs projets et de se hisser parmi les meilleures innovations de la tech.

  • Le concours, en favorisant la proximitĂ© et l'Ă©change, donne un coup de pouce Ă  celles qui sont en phase de levĂ©e de fonds, leur permettant de prĂ©senter leurs projets devant un jury d’experts et d'accroĂźtre leur visibilitĂ©.

  • Pour y participer, les candidats doivent ĂȘtre entrepreneurs avec une sociĂ©tĂ© de moins de 8 ans et en phase de levĂ©e de fonds comprise entre 500 000 et 5 millions d’euros.


  • Au Shadok, les entrepreneurs sĂ©lectionnĂ©s ont 3 minutes pour convaincre un jury d’investisseurs, de mentors et de professionnels de l'innovation.

  • Chaque Ă©tape locale, telle que celle de Strasbourg, qualifie un projet pour une finale rĂ©gionale.

  • Les plus convaincants poursuivront l’aventure jusqu'Ă  la Grande Finale Ă  Paris le 3 dĂ©cembre Ă  la Banque de France.


  • Depuis sa crĂ©ation en 2015, ce camion de l'entrepreneuriat a visitĂ© plus de 40 villes et mis en lumiĂšre plus de 430 projets prometteurs.

  • Cette 10ᔉ Ă©dition voit la Mission French Tech et Maddyness s’allier en tant que co-organisateurs pour amplifier leur soutien aux meilleures start-up de la rĂ©gion.

 S'informer : Les start-up locales peuvent ĂȘtre soutenues en se rendant au Shadok.

5 - Le portrait : Alfonso Nsangu, une vie mise en scĂšne 🎭

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Des Gospel Kids à l'humour, Alfonso Nsangu souhaite partager les valeurs humanistes qu’il porte (Photo : Steeve Josch).

Alfonso Nsangu est Ă  l’affiche d’un Seul-en-scĂšne Ă  l’Illiade, ce soir, Ă  Illkirch-Graffenstaden. Il se livre Ă  l’Essentiel Strasbourg sur son enfance, son engagement dans le Gospel et ses nouveaux rĂȘves.



« Mon pĂšre m’a dit : tu deviendras maĂźtre de chƓur de gospel. Tu as le rythme dans la peau. » Originaire de l'Angola, Alfonso Nsangu a six ans lorsqu'il arrive Ă  Paris. AprĂšs une mutation, ses parents s’installent Ă  la Meinau avec leurs cinq enfants, puis dans le quartier de Hautepierre. « Pour beaucoup, c’est un quartier compliquĂ©. Pour moi, ça a Ă©tĂ© une renaissance ! Nous avions chacun notre chambre, et j’ai gagnĂ© en autonomie », dĂ©clare Alfonso Nsangu.


Au collĂšge, il fait la connaissance du pasteur FrĂ©dĂ©ric Setodzo, et entre dans la chorale de la paroisse protestante de Hautepierre. « J’ai tout de suite su pourquoi j’étais sur Terre. L’histoire du gospel est extraordinaire. Nous sommes les messagers de ces personnes prises comme esclaves et qui ne sont plus lĂ  pour en tĂ©moigner », estime-il.



Plus jeune, Alfonso a entamĂ© une formation de mĂ©canicien. Mais le chant lui colle Ă  la peau, et le besoin de transmettre devient viscĂ©ral. « En 2003 et pendant trois ans, je suis allĂ© d’école en Ă©cole pour apprendre le gospel aux enfants. Je ne parlais pas anglais, je chantais en “yaourt”, mais ils adoraient mon Ă©nergie et j’y ai pris goĂ»t », se souvient-il. Depuis la crĂ©ation officielle de l’association en 2006, Alfonso partage ses semaines entre les enfants de Strasbourg, Duppigheim, Hoerdt ou encore Haguenau.


Les “Gospel Kids” grandissent, mais Alfonso enchaĂźne les petits boulots, jusqu’à ce que Fabienne Keller, ancienne maire de Strasbourg, lui permette de travailler Ă  temps partiel pour l'association en 2007. Vingt ans plus tard, l’objectif des Gospel Kids est restĂ© le mĂȘme : rĂ©unir les enfants, peu importe leur condition sociale. 12 000 ont pu chanter avec Gospel Kids. « Quand ils portent leur t-shirt du gospel, ils se ressemblent tous, qu’ils viennent de l’Orangerie ou de Hautepierre. Les parents se mĂ©langent. Certains partent mĂȘme en vacances ensemble ! C’est gĂ©nial », ajoute ce pĂšre de deux enfants de 13 et 9 ans.



C’est en conseillant aux enfants d’aller au bout de leurs rĂȘves qu'Alfonso dĂ©cide enfin de rĂ©aliser le sien, Ă  41 ans. « Depuis que je suis jeune, mon dĂ©fi est de faire sourire les gens qui ne sourient jamais. Ça a marchĂ© avec Flora, ma femme ! », plaisante l’humoriste. AprĂšs quelques scĂšnes de stand-up un peu partout en Alsace, oĂč il raconte sa vie de “gaffeur”, le maire d’Illkirch-Graffenstaden lui propose une soirĂ©e Ă  la grande salle de l’Illiade. Elle affiche presque complet.


« Je suis nul pour faire des blagues, je ne cherche pas Ă  ĂȘtre drĂŽle. Je parle seulement de ma vie, de certains moments cocasses, comme le jour oĂč j’ai dĂ©barquĂ© Ă  Hoerdt, en tant qu’homme de couleur. Mes anecdotes font rire, mais c’est Ă©galement l’occasion de faire passer des messages importants de bienveillance et d’ouverture Ă  l’autre », souligne Alfonso Nsangu.


S'informer : Pour dĂ©crocher les toutes derniĂšres places du Seul-en-scĂšne d’Alfonso Nsangu, dit Alfonso Le Cousin, rendez-vous ici.

Revue de presse 🗞


Le pont tournant de la Petite France fait l'objet de travaux de maintenance Ă  Strasbourg. L'entretien vise Ă  prĂ©server cette structure construite il y a 136 ans. La circulation pourrait ĂȘtre perturbĂ©e pendant toute la durĂ©e des travaux. C’est Ă  voir sur BFM Alsace ici.



Il se tiendra du 27 novembre au 27 dĂ©cembre. Les visiteurs pourront explorer 289 chalets marchands rĂ©partis dans la ville, avec une large sĂ©lection de produits artisanaux. Le marchĂ© de NoĂ«l avait accueilli, l'annĂ©e derniĂšre, 3,3 millions de personnes, soit une frĂ©quentation en hausse de 17% par rapport Ă  l'Ă©dition prĂ©cĂ©dente. C’est Ă  lire sur France Bleu Alsace ici.

Les idĂ©es sorties de l'Essentiel 💡

Concert jazz avec Marie KrĂŒttli Trio et MichaĂ«l Attias Quartet 🎶

Le trio de Marie KrĂŒttli met le piano au cƓur d’une soirĂ©e rythmĂ©e, mĂȘlant groove et structures complexes. Ensuite, MichaĂ«l Attias, saxophoniste new-yorkais avant-gardiste, s’associe Ă  trois musiciens pour un quartet explorant les frontiĂšres du post-jazz et de l’improvisation libre.


⏱ 20h30.

📍 CSC FossĂ© des Treize - Strasbourg 6 rue Finkmatt.

💶 De 6 € Ă  21 €. RĂ©servation ici.

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Blind Test Ă  L'Établi Ă  Strasbourg 🎶

Un nouveau Blind Test sera organisĂ© Ă  L'Établi, animĂ© par Ulrick, avec un thĂšme qui sera rĂ©vĂ©lĂ© plus tard. Des lots seront offerts aux participants avec les meilleures connaissances musicales.


⏱ 19h- 22h.

📍 8 place d'Austerlitz, Strasbourg.

💶 EntrĂ©e gratuite.

Direction de la rédaction : Jean-Marc Paillous avec Emmanuelle Magne, Dany Laforge.
Rédactions en chef : Sailesh Gya à Strasbourg ; Lucile Gélébart à Paris ; Julien Chaillou à Rennes ; Chloé Chamouton à Nantes ; Perrine Honoré à Bordeaux ; Charline Poullain à Toulouse ; Frédéric Dubessy à Marseille ; David PagÚs à Montpellier ; Léo Mourgeon à Lyon ; Fabien Pigalle à Nice ; Jessica Chaine à Toulon ; Marc-Alexis Roquejoffre à Clermont-Ferrand.

A collaboré à cette édition : Chloé Boudon, AurÚle in the city.

👋

À demain !

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