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2 - Un “café papote” pour échanger sur l’endométriose ☕ |
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Cette maladie gynécologique inflammatoire chronique touche une femme sur 10 (Photo : Adobe Stock).
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L’association Bretagne Endométriose organise pour la première fois en Ille-et-Vilaine un moment pour parler de cette maladie encore méconnue. Il se déroule au Café des Champs Libres à partir de 18h30 (sur inscription).
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À qui ça s’adresse ? 🙋 |
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Cette discussion est ouverte aux personnes concernées par l’endométriose ou à celles qui ne sont pas encore diagnostiquées mais pensent en souffrir.
“Cela s’adresse aussi aux membres de l'entourage d’une personne touchée par cette maladie”, explique Noëmie, bénévole et co-organisatrice de l'événement.
“Il n’est pas évident de parler de l’endométriose. C’est un sujet encore tabou car beaucoup de femmes pensent qu’il est normal de souffrir pendant ses règles”, souligne-t-elle.
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De quoi s’agit-il ? 🗣️ |
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Ce rendez-vous est donc l’occasion de libérer la parole et de partager son quotidien.
“C’est un moment convivial qui peut faire beaucoup de bien et permet de découvrir que l’on n’est pas seule face à cette maladie. Et que l’on n’est pas seule à connaître des difficultés”, enchaîne Noëmie.
“C’est aussi un temps pour s’échanger de précieux conseils sur les moyens de soulager les douleurs ou pour partager les contacts de professionnels de santé sensibles à ce problème, ce qui est loin d’être le cas de tous”, ajoute-t-elle.
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Zoom sur 🩸 |
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L’association Bretagne Endométriose est née à la fin de l’année 2022 à Brest. L’antenne d’Ille-et-Vilaine a ouvert en mars 2024.
“Nous avons d’abord organisé des ateliers cuisine au sujet de l’alimentation anti-inflammatoire qui permet d’améliorer la qualité de vie. Il y en a déjà eu 3 à Rennes”, précise Marie Marie Bauduin, référente de l’association dans le département.
Outre l’accompagnement des personnes malades via des “conseils pratiques”, la structure se fixe aussi pour objectif de “sensibiliser le grand public” à l’endométriose.
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3 - Un espace de travail partagé au coeur de la gare de Rennes 💻 |
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Il faut debourser 10€ pour louer une place durant une heure (Photo : Instagram Le Paris Brest).
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Travailler au sein d’un restaurant gastronomique. C’est la nouveauté proposée par le Paris-Brest, l’établissement géré par le chef trois étoiles Christian Le Squer. Le lieu est accessible le matin et l’après-midi entre les services.
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En quoi ça consiste ? 🥠 |
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L’espace de de travail partagé occupe un rang de l’établissement situé dans le hall 1 de la gare de Rennes. 15 places sont disponibles. Elles se réservent à l’heure, puis, par demi-heure supplémentaire.
Le lieu est ouvert tous les jours de 7h à 11h puis de 15h30 à 18h.
“C’est accessible à tout le monde, que ce soit des voyageurs dans l’attente d’un train ou des locaux qui veulent travailler au calme pendant un moment”, explique Tao, chef de rang et sommelier au sein du restaurant.
“Le but est d’ouvrir encore davantage le restaurant sur la ville et ses habitants”, ajoute-t-il.
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Comment ça marche ? 🫖 |
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Il faut compter 10 € de l’heure pour profiter d’un siège au sein de l’espace de coworking puis 5 € par demi-heure supplémentaire.
Ce tarif comprend une place équipée d’une connexion wifi haut débit et d’une prise électrique. Petit plus pour les voyageurs : un écran affiche les horaires des trains en temps réel. Des bloc-notes peuvent aussi être mis à disposition sur demande.
“La prestation inclut également une boisson chaude ainsi qu’une madeleine ou une part de cake maison”, précise Tao.
Il est conseillé de s’inscrire pour obtenir une place (par email ou téléphone auprès de l’établissement). Il est aussi possible de s’y rendre sans réservation.
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UN MESSAGE DE LA BANQUE DE FRANCE
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Les Rencontres de la Politique Monétaire : l’invitation au dialogue |
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La Banque de France organise régulièrement des événements pour rendre la politique monétaire et les concepts financiers plus accessibles au grand public (Photo : DR).
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🇫🇷 La Banque de France vous convie à un événement majeur : les Rencontres de la Politique Monétaire. Le mercredi 9 octobre, François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, vous ouvrira les portes de l'institution pour une soirée exceptionnelle consacrée aux grands enjeux économiques actuels.
💹 Depuis leur lancement, les Rencontres de la Politique Monétaire se sont imposées comme un rendez-vous incontournable pour ceux qui souhaitent décrypter les mécanismes complexes de l'économie. Forte du succès des éditions précédentes, qui ont réuni près de 50 000 participants, la Banque de France continue de s'engager dans une démarche de pédagogie et de transparence. Cette 4e édition, retransmise en direct, sera une occasion unique d’échanger avec des décideurs économiques de 1er plan dans un cadre d’échanges ouvert et accessible à tous.
💶 Que vous soyez étudiant, professionnel ou simplement curieux, cette rencontre est l’opportunité parfaite pour poser vos questions et participer au débat. Les discussions porteront sur des thématiques clés et d'actualité : l'inflation, les taux d’intérêt, et les perspectives économiques. Les experts de la Banque de France seront présents pour fournir des explications claires et précises, afin d'aider chacun à mieux comprendre les leviers de la politique monétaire.
Pour assister à l’événement au siège de la Banque de France à Paris, le 9 octobre prochain, cliquez sur ce formulaire d’inscription, et pour suivre les rencontres à distance, cliquez sur le lien de connexion.
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4 - Voyage musical dans l'âme de la Galice 🇪🇸 |
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Le duo s'est déjà produit au Festival interceltique de Lorient en 2022 (Photo : Viavox Production).
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Cette semaine, le duo galicien Caamaño & Ameixeiras va se produire dans 4 lieux d'Ille-et-Vilaine dont ce soir à Bruz. Puisant dans le répertoire traditionnel de Galice, les 2 musiciennes présentent un univers à la saveur anthropologique.
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La génèse 🎻 |
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La formation espagnole, composée de Sabela Caamaño (accordéon chromatique) et Antía Ameixeiras (violon et voix) est née en 2018.
Les 2 artistes ont collaboré avec plusieurs musiciens célèbres tels que Carlos Nuñez, Kepa Junkera et le légendaire ensemble galicien Luar Na Lubre.
Elles se sont notamment produites au Festival interceltique de Lorient en 2022.
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Entre les lignes ♥️ |
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“Nous reprenons beaucoup de morceaux issus de la musique et de la danse traditionnelle populaire galicienne du XXe siècle, en puisant dans les archives culturelles de notre région”, relate Antía Ameixeiras à l’Essentiel Rennes.
“Dans notre nouvel album, Quitar o aire, nous évoquons une anthropologie culturelle galicienne, avec des thèmes ayant trait à la magie, à l'amour, à la mort, ou encore aux rituels visant à sauver l'âme et le corps”, ajoute l’artiste.
Au niveau instrumental, ces thématiques sont déployées par Sabela Caamaño à l'accordéon chromatique et par Antía Ameixeiras au violon et à la pandereta, petit tambour sur cadre galicien.
«Nos compositions s'inspirent aussi, parfois, d'autres imaginaires culturels, avec des mélodies aux accents celtes et balkaniques», raconte Antía Ameixeiras.
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Au programme 🪗 |
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Le duo se produira ce mardi à 20h30 au Grand Logis (Bruz). L’entrée est libre.
Les autres concerts sont payants. Ils auront lieu ce mercredi à 20h30 à la Salle polyvalente de La Bouëxière, ce jeudi à 20h30 à La Péniche Spectacle (Rennes), et ce vendredi à 20h30 à la Salle Ti Armen (Sel de Bretagne).
Accédez à la billetterie.
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5 - La question : Quel drame a donné naissance à la roseraie du Thabor ? 🌹 |
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Cet espace a vu le jour suite à un événement tragique en France (JBG/Destination Rennes).
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L’ancien jardin des moines de l’abbaye bénédictine Saint-Melaine, aménagé au XIXe siècle par les célèbres paysagistes Denis et Eugène Bühler, était à l’origine dépourvu de cet espace constitué de 2 500 roses.
L’Essentiel Rennes vous propose de découvrir les racines tragiques de ce pôle d’attraction du parc situé dans le
centre-ville.
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On rembobine 🪖 |
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Le parc du Thabor a été aménagé sous le Second Empire en 1868. Il servait de lieu de balade pour la bourgeoisie locale qui venait y occuper sa oisiveté de rentiers. C’était aussi un espace de représentation où les “bonnes” familles entretenaient leurs relations.
À l’origine, le lieu comprenait un parc paysager composé notamment d’arbres exotiques, un jardin à la française et un espace botanique comme le montre un plan original retrouvé au début des années 1990 par l’historien spécialiste des jardins, Louis-Michel Nourry.
Si le jardin botanique est riche avec plus de 3 000 espèces présentées, aucune trace de roseraie. Il a fallu attendre le début du XXe siècle et une période mouvementée de l’histoire pour que les choses évoluent.
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Le contexte 🎖️ |
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En 1914, la Première Guerre mondiale éclate. Elle mobilise les hommes et va emporter nombre d’entre eux. Beaucoup de foyers se retrouvent alors dépourvus de maris et de pères.
Les femmes vont prendre le relais et participer à leur façon à l’effort de guerre dans les usines et les ateliers. Une fois la paix revenue, la démographie de la ville a changé.
Ces dames, pour beaucoup venues de la campagne, occupent leurs journées de repos du dimanche en se promenant dans les rues et parcs de Rennes. Leur constat est clair : la ville manque de couleurs et de fleurs.
Des revendications sont adressées à la mairie de l’époque. Le sujet est pris au sérieux : il est inscrit à l’ordre du jour d’un conseil municipal en 1922.
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Et après 🥀 |
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La décision est prise de consacrer une partie du parc du Thabor à la création d’une roseraie.
Celle-ci sort de terre officiellement en 1926. À l'époque, elle n’occupe qu’un quart du jardin botanique. En 1956, le carré des nouveautés est ajouté. Il présente les espèces de roses de moins de 10 ans qui sont renouvelées chaque année.
Depuis 1990, les espèces créées avant 1914 sont regroupées au sud-est du jardin botanique dans le carré des roses anciennes.
La roseraie regroupe aujourd’hui près de 2 500 roses se déclinant en près de 1 000 variétés. Elles sont plantées en buissons, en tiges et demi-tiges.
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