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2 - Sensibiliser au don d'organes 🫴 |
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Le don d'organes est un acte de solidarité (Photo : Adobe Stock).
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La ville de Basse-Goulaine organise une conférence débat aujourd’hui sur ce sujet en partenariat avec Greffes+, collectif d’associations, de fédérations et de fondations.
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Pourquoi c'est important 🔢 |
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« Même si 5 634 greffes ont pu être réalisées en France au bénéfice des patients en attente en 2023. 2 à 3 personnes décèdent chaque jour faute de dons », rapporte le collectif Greffes +.
Au 1er janvier 2024 selon l'ARS Pays de la Loire, 21 866 patients étaient inscrits sur la liste nationale d’attente, tous organes confondus.
Bien que 80 % des Français soient favorables au don, le taux de refus atteint 36 %. Les proches, qui ne connaissent pas la position du défunt, préfèrent s'y opposer dans le doute.
Au CHU de Nantes, de nombreux malades bénéficient d’une transplantation d’organes (rein, pancréas, cœur et poumons) ou d’une greffe de tissus (cornées, vaisseaux, valves cardiaques et os massifs).
Cependant, chaque année, 2/3 des personnes inscrites sur liste d’attente ne peuvent bénéficier d'opérations faute de greffons disponibles.
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À propos 📣 |
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En France, la loi de bioéthique de 2004 a instauré le principe de consentement présumé : tout individu est considéré après sa mort comme donneur s’il n’en a pas exprimé le refus de son vivant.
Le texte prévoit également « que les proches soient systématiquement interrogés sur la volonté du défunt lorsqu’un prélèvement d’organes est possible ».
La journée mondiale du don et de la greffe, qui aura lieu demain, vise ainsi à sensibiliser à l'importance de cet acte de solidarité et invite chacun à en discuter avec sa famille.
Ce soir, la réunion va permettre de rencontrer des personnes greffées, d'échanger avec diverses associations. Rendez-vous salle Bouin à 19h.
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Zoom sur 💚 |
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Basse-Goulaine vient tout juste de s’engager dans l’action des Villes Ambassadrices du Don d’Organes (VADO), qui regroupe 11 communes en Loire-Atlantique, dotées désormais du ruban vert.
Il s’agit d’élus et de citoyens qui s’engagent, aux côtés des soignants, des patients et de leurs proches, ainsi que des associations à donner davantage de visibilité au don d’organes.
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3 - Vers des transports routiers plus propres 🔋 |
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Les camions doivent répondre aux enjeux de mobilité durable et décarbonée (Photo : Adobe Stock).
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La 20e édition du salon du véhicule industriel Technotrans se déroule à partir d'aujourd'hui et jusqu'à vendredi au Parc des Expositions de
Nantes. Le président et délégué régional à la FNTF Pays de la Loire, Jean-Christophe Limousin, en décrypte les enjeux.
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Comment se porte la filière dans notre région ? 🚀 |
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« Elle est particulièrement dynamique et c'est une filière d'avenir. On compte plus de 2 000 entreprises dans le secteur du transport routier de marchandises. Soit un effectif de 52 000 salariés en augmentation constante. »
« C'est un secteur qui recrute tous les ans. En effet, 88 % des besoins quotidiens des consommateurs passe par la route. Si les conducteurs représentent 70 % de nos métiers, le transport offre avec l'essor des nouvelles technologies des débouchés diversifiés. »
« Les fonctions d'organisation, la maintenance des véhicules, la digitalisation, la gestion commerciale requièrent des compétences qui reposent sur des formations et des diplômes spécifiques. »
« C'est également une filière qui se féminise car la technologie camion est de plus en plus fonctionnelle et les horaires de travail plus adaptés. »
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Qu'en est-il de la transition énergétique ? 🍀 |
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« Le secteur des transports est en pleine mutation et les entreprises s'engagent vers des transports plus propres et engagés en faveur de l'environnement, avec des camions nouvelle génération qui polluent peu. »
« D'énormes avancées technologiques ont été réalisées depuis 20 ans par les constructeurs et de nouvelles voies à explorer émergent : l'électro-mobilité, l'électrique, les carburants de synthèse ou encore l'hydrogène. Nous militons pour adopter un mixte énergétique. »
« La digitalisation apporte des avantages dans le sens où les entreprises utilisent des fonctions performantes notamment avec l'IA pour rendre plus opérationnelles les tournées et éviter les kilomètres à vide. »
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Va-t-on vers des camions autonomes ? 🚚 |
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« Les équipements de sécurité sont de plus en plus importants. Les camions sont désormais tous dotés de caméras à la place des rétroviseurs, ce qui permet de mieux contrôler les angles morts et de les rendre plus aérodynamiques. »
« L'installation de caméras supplémentaires permet de filmer le devant du camion et d'apporter des réponses en cas d'accident ou d'incident avec les usagers de la route. De de là à arriver sur un camion autonome sans livreur, on en est loin ! »
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4 - Explorer l'histoire de la musique 🎼 |
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Découvrez l'histoire musicale sous un angle interactif et pédagogique (Photo : Adobe Stock).
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Le Patio musical lance aujourd'hui un nouveau cycle de cours consacrés à la culture musicale à Saint-Aignan de Grand Lieu.
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Le concept 🎵 |
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La musique n'est pas une discipline artistique dont la compréhension ne serait réservée qu'à quelques initiés ! C'est le principe de cette initiative portée par l'école le Patio musical, qui en fait avant tout une pratique épanouissante accessible à tous.
Ce parcours se veut avant tout pédagogique et vise à vulgariser le répertoire musical.
Un mercredi par mois, Simon Guillot, professeur de flûte traversière au sein de l'établissement, fait découvrir les œuvres de grands compositeurs de toutes les époques et de tous les horizons, à travers des écoutes commentées et des analyses d'auteurs.
« Chaque séance, c'est un peu comme ouvrir une partition secrète », commente ce dernier.
« Ce cours permet également à chacun de partager ses émotions, ses coups de cœur et ses interprétations propres. Un moment de convivialité à vivre pour tous les passionnés de musique, débutants comme initiés. »
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À quoi s'attendre 💡 |
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Le cycle se compose de 7 séances gratuites.
Elles se déclinent autour de thématiques variées : le XXe siècle, littérature et musique, invitation au voyage, musique évocatrice, savante, populaire et traditionnelle, hommages et épitaphes, monuments et chocs musicaux.
Ce soir, c'est la musique romantique dans toute sa diversité qui se trouve mise à l'honneur.
Rendez-vous salle Pouvreau Espace Vie Locale de 19h50 à 21h15. Entrée libre et gratuite.
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5 - La bonne idée : Camzel, de la couture éthique et durable 🪡 |
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La marque propose de jolies pochettes colorées pour présenter vos couverts (Photo : Camzel).
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L’entreprise nantaise, qui vient de recevoir le label Éco-Défis par la chambre des métiers et de l'artisanat, fabrique des produits écoresponsables pour un quotidien plus respectueux de l’environnement.
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On rembobine 🧵 |
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« Je me suis lancée en mai 2020, pendant le Covid, je confectionnais des masques », explique Véronique Ducourant.
La quarantenaire pratique la couture depuis l’adolescence : « J’ai appris en autodidacte sur la machine que mon frère a ramenée à la maison parce qu’il avait des cours de couture au collège ».
Pendant cette période de crise sanitaire, c’est le déclic pour cette cheffe de projet en agence de communication. « J’avais envie de m’investir pour le mieux-être de tous. »
Elle décide de sauter le pas et crée la marque Camzel, fusion des prénoms de ses filles Camille et Zélie, pour valoriser le zéro déchet.
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Les enjeux 🌏 |
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« Ce n’est vraiment pas un phénomène de mode pour moi, mais bien une façon de vivre », insiste Véronique, sensibilisée à la cause écologique depuis plusieurs années.
Bien avant la création de l'entreprise, « j'avais déjà commencé à remplacer un maximum de déchets du quotidien en cousant divers accessoires pour la cuisine ou la salle de bain ».
Le label Éco-Défis qui récompense les actions concrètes en faveur de l'environnement lui permet d’asseoir sa légitimité dans ce secteur « en montrant que le zéro déchet n’est pas du greenwashing ».
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Ce qui est proposé 👀 |
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Elle conçoit différents produits biologiques lavables en coton certifié Gots : pochettes à couverts, lingettes démaquillantes, serviettes hygiéniques, sacs à pain ou à tarte et même des filtres à café qu’elle a élaborés en collaboration avec le torréfacteur nantais Cultivar.
« Il s’avère indispensable pour moi d’utiliser des matières saines, sans pesticides avec des garanties écologiques et sociales. »
La gamme décline une cinquantaine de tissus fleuris esthétiques, qui évoquent la nature.
Elle est disponible dans différents points de vente de la métropole : épiceries vrac, boutiques de créateurs, sur le stand artisanat du marché de Mellinet à Nantes le jeudi.
Ces créations touchent une clientèle plutôt féminine, qui adopte des pratiques responsables pour préserver la planète et sa santé. « C’est un investissement financier au début mais qui offre du confort et du bien-être. »
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