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2 - Concert sous le kiosque de la dalle Kennedy 🎸 |
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L’artiste a sorti son premier album en octobre dernier (Photo : Jean Daubas).
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Le chanteur-guitariste-harmoniciste Edwin va s’y produire à partir de 16h. Gratuit.
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Le contexte 🎉 |
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Le concert est organisé dans le cadre de l’événement “Cet hiver à Villejean-Beauregard”.
Débutées le 8 décembre, les festivités se poursuivent jusqu’au 12 janvier.
Elles sont organisées par les associations et structures du quartier “pour offrir aux habitants des animations pendant la période de fin et début d’année”.
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Bio express 🎶 |
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Edwin est un musicien de rue qui se produit à Rennes depuis 2011.
En 2021, il a décidé de parcourir les routes de France en camping-car pour proposer sa musique dans différentes villes et lieux.
L’occasion pour lui de jouer ses compositions dans des scènes ouvertes.
L’an dernier, il a sorti son premier album - Nomade - disponible notamment sur Spotify, qui est le reflet de son parcours.
Il a également tourné un clip pour accompagner son morceau phare - La Vadrouille - qui est disponible sur YouTube.
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En complément 🔧 |
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De mercredi à samedi, un repair café est organisé à l’Atelier des transitions (2 square de Guyenne). Un chantier collectif y est aussi prévu jeudi (de 14h à 16h30).
Samedi, à partir de 16h, l’association Les fours à mies vous invite à déguster des marrons grillés dans le four à pain de Villejean.
L’animation musicale sera assurée par Edwin. Gratuit.
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3 - Des galettes et crêpes en cornets 🥞 |
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Le nom de l’établissement a une double signifaction (Photo : Madame Claude).
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Madame Claude a ouvert ses portes en fin d’année dernière au 23 rue de Penhoët.
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Le concept 🔺 |
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“Nous proposons des crêpes et galettes servies sous forme de cornet triangulaire. Elles se dégustent un peu comme un sandwich”, explique à l’Essentiel Rennes, Jean-Baptiste Pirioux, le gérant de Madame Claude.
La carte comprend “tous les classiques” du genre : “Nous ne révolutionnons pas les recettes, mais notre format est atypique”.
“Il est possible de manger sur le pouce ou sur place”, souligne-t-il. L’établissement compte ainsi 28 places en intérieur et 12 places sur une terrasse extérieure.
“Nous avons aussi un patio de 12 places. Le but est de l’ouvrir au printemps prochain”, annonce-t-il.
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Voici comment 🥩 |
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Jean-Baptiste Pirioux insiste sur l’aspect “très local” de ses recettes.
“90 % de nos produits sont sourcés dans un rayon de 50 km autour de Rennes”, indique le gérant très heureux de la fréquentation depuis l’ouverture.
Par exemple, la saucisse vigneronne, tout comme le jambon cuit aux herbes, sont confectionnés par la Boucherie de la Monnaie “qui se trouve à 200 mètres de l’établissement”.
Les légumes viennent d’une ferme de Pacé, le fromage de Guipry-Messac, le cidre d’un verger de Saint-Grégoire et les bières de Paimpont.
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Dans les coulisses 👵🏻 |
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Le nom de l’établissement - Madame Claude - a une double signification.
“C’est un hommage à ma grand-mère qui me faisait des crêpes et galettes quand j’étais petit, mentionne Jean-Baptiste Pirioux. J’ai aussi joué la provocation en faisant référence à cette dame (une célèbre proxénète française, NDLR).”
“Cela fonctionne car certains poussent la porte pour savoir ce que Madame Claude fait à Rennes”, se réjouit le gérant.
La crêperie est installée dans une ancienne laverie : “Nous avons gardé le vieux carrelage vert présent au sol”. Le décor cosy comprend un comptoir en chêne, un plan de travail réalisé à base de coquilles Saint-Jacques et des éclairages doux.
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Pratique 🕙 |
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L’établissement est ouvert du mardi au samedi, de 10h à 18h, en continu.
“Je suis pressé de recruter une personne pour ouvrir le soir jusqu’à 21h30-22h”, avance Jean-Baptiste Pirioux.
Le prix des galettes classiques va de 2,5 € à 9,50 €.
Pour ce qui est des galettes spéciales (5 recettes), il faut compter de 9,50 € à 11,50 €.
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4 - La photo à l’honneur à Rennes 2 📸 |
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Ces captures représentent des fragments de voyage (Photo : Noé Voisin).
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En cette rentrée, l’université propose 2 expositions au sein du campus de Villejean.
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De quoi parle-t-on ? 🌍 |
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La première exposition, intitulée “Là”, présente les clichés de Noé Voisin.
Visible jusqu’au 26 février, elle est installée au sein de La Mezzanine (bâtiment O).
Les photos représentent une partie des voyages du jeune homme : une rue au Viêtnam, les montagnes au Népal, les fjords de l’Islande…
Chaque œuvre porte le nom du moment exact et le lieu précis où la photographie a été prise.
Un vernissage est prévu le mardi 14 janvier dans le hall du Tambour.
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L’autre côté 🎨 |
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La seconde exposition, nommée “Etoile rétine”, comprend des séries de photographies de Marguerite Bornhauser.
Installée en plein air sur le campus, elle est visible jusqu’au 30 avril 2025.
Dans ses clichés, l’artiste joue avec les couleurs qui sont pour elle une manière de percevoir et de représenter le monde.
Celle qui fait partie des photographes françaises contemporaines les plus importantes est une spécialiste de la juxtaposition d’images.
Son œuvre est marquée par des compositions souvent abstraites. Elle explore différents thèmes, comme la nature, le paysage urbain ou encore l'architecture.
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5 - Le portrait : Solenn Chojnicki, fondatrice de Soha Yoga Pilates 🧘 |
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Solenn avec la doyenne de son studio âgée de 96 ans (Photo : SC).
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Kinésithérapeute de métier, cette Rennaise a ouvert un studio de yoga avec pour objectif de rendre cette pratique accessible à tous et de créer du lien social.
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La génèse 🤸 |
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Solenn Chojnicki a découvert la kinésithérapie lors de sa carrière d’athlète de haut niveau.
“Je faisais de la gym acrobatique au sein du club de Bréquigny. J’ai été championne de France et 3e lors des mondiaux juniors (en 2001, NDLR)”, retrace-t-elle.
“Comme j’étais souvent blessée, je passais beaucoup de temps avec les kinés”, ajoute-t-elle.
À l’âge de 18 ans, elle décide d’arrêter la gym pour se consacrer à ses études.
“Je me suis aperçue que l’on ne nous donnait pas tous les outils, notamment sur l’accompagnement et l'apaisement mental auprès des patients. J’ai donc décidé de m’orienter vers le yoga pour compléter ma pratique”, souligne-t-elle.
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Et après ? 🏢 |
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Après des années de remplacement à Paris, la Covid vient bouleverser son quotidien. En avril 2021, Solenn Chojnicki prend la décision de revenir à Rennes pour y installer son cabinet.
Elle trouve un local situé dans son quartier d’origine, tout près de là où elle pratiquait la gym. “Tout s’est fait en 1 an. C’est comme si les planètes étaient alignées”, indique-t-elle.
Le lieu, ouvert à d’autres kinés, propose des soins classiques.
Puis, Solenn décide de diversifier l’offre avec des activités axées “autour du bien-être” : yoga, pilates, sophrologie, renforcement musculaire, cercle de femmes.
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À qui ça s’adresse ? 👪 |
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“Mon but est notamment de permettre la pratique du yoga à tous quel que soit son niveau, sa condition physique ou son âge via des cours adaptés”, explique Solenn Chojnicki.
“J’ai récemment donné un cours avec une dame âgée de 96 ans. Elle avait des paillettes dans les yeux. C’était un très beau moment”, cite-t-elle en exemple.
Elle propose aussi des cours à destination de ceux souffrant de polyarthrite et qui ne peuvent poser les mains au sol.
“Le studio se veut aussi un lieu ouvert sur le quartier où les gens sont invités à venir partager de bons moments. Je propose notamment des diffusions de films.”
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À savoir 🧐 |
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Le studio est situé au 5 place Albert Bayet à Rennes dans le quartier Bréquigny.
Environ 350 personnes le fréquentent chaque semaine.
Les cours ont lieu du lundi matin au vendredi soir. “En 2025, je souhaite proposer davantage d’ateliers durant les week-end”, avance Solenn Chojnicki.
Pour découvrir le studio ou réserver un cours, rendez-vous sur Soha Yoga Pilates.
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